LA croyance qui condamne à faire un métier qu’on déteste (avec tapping EFT + audio+vidéo)

 

 

Histoire vraie : une entreprise veut délocaliser. Les ouvriers sont en grève. Interview d’une ouvrière :

– ” ça fait 20 ans que j’ai tout sacrifié à cette entreprise; j’y ai laissé ma santé, ma vie, tout ça pour un salaire minable, et maintenant ils me jettent comme une moins que rien”.

J’ai envie de hurler : “ça fait 20 ans que tu es malheureuse ici, et tu en redemandes ! Tu es frustrée que ça ne continue pas ! tu n’essaies pas de changer d’entreprise, de région, de pays, de vie ?!

J’imagine sa réponse :

– à quoi bon ? Ailleurs, ça ne sera pas mieux. D’ailleurs, quand j’ai fini ma journée de travail, je n’ai plus ni le temps ni l’envie de chercher autre chose.

– ça ressemble à une prison, ce que tu es en train de me décrire ?

– tu ne sais pas de quoi tu parles ! Tant mieux pour toi si tu as du temps libre, pas moi !

Fin de la discussion, l’ouragan se lève… inutile de continuer.

 

Je suppose que l’éventualité même d’une vie plus libre touche à des centaines d’émotions douloureuses. Elles découlent essentiellement d’une croyance terrible : “C’est comme ça, c’est ça la vie, on n’y peut rien.”

Le désir de bonheur, de liberté, est muselé, enfermé sous cette croyance. Elle enserre de ses griffes, elle blesse cruellement la vitalité, la joie de vivre. Et toute allusion à une vie vraiment heureuse remue le fer dans la plaie. Je parle d’une vie vraiment heureuse, celle qui réjouit l’âme et fait briller les yeux; il n’est pas question ici de la vie stéréotypée que nous suggèrent les médias : avoir un “boulot”, une voiture, une p’tite maison, une p’tite famille, et une grande télé.

Pas étonnant que les réactions soient violentes dans ce cas. Ce n’est pas un désir de faire du mal, c’est des hurlements de douleur : comme ceux que pousserait un grand brûlé, si on effleurait ses brûlures.

 

 

UNE croyance : “on n’a pas le choix, on ne peut pas faire autrement”.

D’où vient cette croyance ? La réponse est facile : on a entendu cette phrase toute sa vie, sous des centaines de formes différentes.

– les parents qui allaient “au chagrin” tous les matins, qui conseillaient (fortement) à vos aînés de faire la même chose. D’abandonner leur vocation d’artiste, d’éternel voyageur, de poète … pour se trouver “un bon boulot” : salaire fixe, fonctionnaire de préférence, pour la “sécurité de l’emploi”.

– les amis qui mettent un point d’honneur à se plaindre de leur patron (le même depuis 20 ans), mais qui se sentiraient “traîtres à la classe ouvrière” (et surtout terrorisés !) s’ils envisageaient une seconde de créer leur métier, ou même simplement de chercher autre chose.

– les politiciens qui diabolisent les chômeurs, les font culpabiliser de toucher le RSA (si toutefois ils y ont droit; c’est quelquefois très compliqué); le système qui fait tout pour les obliger à chercher un “emploi”, n’importe lequel, qu’il corresponde ou non à leurs compétences.

Et à leur désir profond ?
– Ooooh, comment pouvez-vous poser des questions aussi stupides ? Leurs désirs, “leurs caprices”, c’est un luxe, tout ça. L’essentiel, c’est de trouver un “boulot”.

Tiens, je réalise que ce mot ressemble à “boulotter” (manger). Donc, “avoir un boulot” sert à pouvoir “boulotter”, juste assez pour pouvoir retravailler le lendemain. (Je fais du mauvais esprit, vous croyez ?! )

 

 

La Loi d’Attraction et la croyance “on ne peut pas faire autrement”.

La Loi d’Attraction dit :

  • vous attirez ce à quoi vous pensez le plus souvent, ce sur quoi vous mettez le focus;
  • ou encore, mais ça revient au même, vous créez votre champ magnétique en fonction de vos émotions les plus fréquentes.

Donc, si vous n’arrêtez pas de :

– craindre de perdre votre emploi (émotion), convaincu(e) que ce serait une catastrophe

– parler de la “crise économique”, certain(e) qu’elle mène le monde à la misère (pensées)

– avoir depuis longtemps renoncé à ce qui vous fait vibrer (émotions).

logiquement, qu’allez-vous attirer ???

 

 

Nos conditionnements, encore eux…

Les discours que nous avons entendus étant enfant nous ont fait oublier les Rêves issus du Meilleur de nous-mêmes; ils nous ont fait oublier Qui Nous Sommes, ils nous ont fait oublier notre Projet de Vie. Les discours entendus, les comportements observés, l’énergie captée

Des parties de nous ont enregistré tout cela, et nous l’avons beaucoup, beaucoup, amplifié: toutes les phrases déprimantes que nous avons entendues, nous les avons généralement multipliées par 10 000… au moins.

Et bien sûr, ces parties de nous génèrent des émotions pas drôles, et attirent, comme un aimant, les événements de notre vie. (Loi d’Attraction). Que faire, alors ? Continuer, ou s’en sortir ?

 

 

Une solution ? Un protocole EFT (avec audio).

J’ai enregistré ce tapping en pensant à cette ouvrière en grève, dont je parle au début de l’article. A elle, et à tous ceux qui revendiquent leur droit de rester dans leur prison, et qui peinent à envisager une vie plus belle.

Nous sommes tous comme elle, un peu, quand nous n’imaginons pas sortir de ce qui nous est douloureux.

Alors, c’est le moment de changer de point de vue, et de nous rappeler Qui Nous Sommes, de plus en plus.

Résumé :

Même si je me sens coincé dans un travail que je n’aime pas, au point de ne pas supporter d’entendre quelqu’un me parler de changement, j’envisage de voir les choses différemment.

Même si une partie de moi a envie de quitter ce travail, et qu’une autre partie de moi est terrifiée à cette idée, qu’une troisième me croit incapable d’y arriver, je m’aime et je m’accepte complètement, et je regarde ma situation avec un peu de bienveillance et d’optimisme.

  • Je déteste ces gens qui se vantent de leur métier épanouissant
  • J’ai l’impression qu’ils se moquent de moi, qu’ils me méprisent.
  • Je ressens leur satisfaction comme une injure personnelle.
  • Ils en ont de la chance, eux.
  • Moi je suis scotchée dans mon état d’esclave.
  • J’ai aucun espoir de changer.
  • et puis ça ne se fait pas de changer, je n’ai pas le droit.
  • Tous les autres autour de moi restent dans leur travail.
  • Ils s’en plaignent, mais ils y restent.
  • Ils sont courageux, eux.
  • Ils ne font pas autant d’histoires que moi.
  • Je suppose que je suis bizarre.
  • J’ai déjà un travail, faut pas que je me plaigne.
  • Je suis vraiment exigeante, j’en veux trop.
  • Puis si je la ramène trop, je vais me faire virer !
  • Et puis, faut se contenter de ce qu’on a.
  • Pourquoi, moi, je n’y arrive pas ?
  • Mes collègues se plaignent sans arrêt, et ça m’énerve.
  • Je devrais être plus compréhensive…
  • Une partie de moi en a quand même vraiment assez…
  • une autre partie de moi a honte de vouloir changer;
  • et une troisième a honte de ne pas avoir déjà changé !
  • Comment faire, avec toutes ces contradictions ?
  • C’est clair, d’autres ont une vie plus agréable que la mienne.
  • Ils sourient plus souvent.
  • Bon, et si je changeais de point de vue ? (5’30)
  • Si ce n’était pas trahir tout le monde que de vouloir d’autres horizons ?
  • Trouver la sortie d’une prison, et leur montrer,
  • ce n’est pas un manque de solidarité.
  • C’est même les aider de façon efficace.
  • Ooooh, c’est nouveau, cette façon de penser…
  • Je peux faire ça, moi ?
  • Créer ou trouver un métier où je sois bien ?
  • Je suis tellement habituée à penser que ce n’est pas possible.
  • Et pourtant, certains vivent ça.
  • Après tout, en quoi seraient-ils supérieurs à moi ?
  • On est tous Reliés à l’Univers,
  • et Reliés par le Meilleur de nous-mêmes…
  • Donc, ces gens qui me paraissent avoir une réussite extraordinaire,
  • ce sont des gens … comme moi.
  • Reliés à l’Univers, comme moi.
  • Et si je commençais à espérer avoir le métier de mes Rêves ?
  • et que ça se passe très bien au niveau relationnel et financier ?
  • Et si c’était possible ?
  • Nous sommes tous Reliés à l’Univers
  • Nous avons tous une Sagesse Intérieure qui nous guide…
  • Nous sommes tous bien Plus que nous ne croyons être.
  • Alors, peut-être que toutes ces difficultés où je m’enterre toute seule
  • ne viennent que de ma vision du monde ?
  • et que je pourrai en changer ?
  • Je pourrai exprimer de plus en plus la Lumière qui est en moi
  • et en tous les êtres.
  • C’est peut-être même ça, être en harmonie avec l’Univers.
  • Se diminuer n’apporte rien au monde.
  • Alors, j’ai le droit de rêver Grand.
  • Nous avons tous le droit au bonheur, toujours.
  • Le bonheur, c’est l’Harmonie avec l’Univers.
  • Je m’ouvre à l’idée d’avoir un métier magnifique,
  • en contribuant à éclairer le monde, avec le Meilleur de moi-même.
  • Une Lumière parmi bien d’autres Lumières
  • pour mon plus grand bien, et pour le plus grand bien de tous.

Une vidéo sur le même sujet

(mais très différente du tapping ci-dessus, bien que les premières phrases soient les mêmes)

 

 

Pour avancer vers votre “Métier idéal”, un suivi individualisé, pour clarifier votre projet et dépasser vos blocages :

 

 

 

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