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EFT Argent et affectivité (un ebook, et 12 audios)

20,00

Un ebook et de nombreux audios  d’EFT , créés pour vous aider à effacer les croyances et blocages émotionnels qui vous éloignent sans cesse de l’Abondance. En faisant ces tappings*, vous comprendrez mieux votre rapport à l’argent, et vous vous libérerez en douceur du terrible conditionnement à la pauvreté que la plupart d’entre nous ont subi pendant des siècles. Et ce sera pour votre plus grand bien, et pour le plus grand bien de tous.
Ils ont été réalisés en LIVE, au cours d’un atelier « EFT Argent et affectivité« , réalisé en 2016.  Les noms des participants ont été changés, pour que ce fichier et ces tappings restent anonymes.

Vous trouverez ici :

– Un ebook constitué de : 

  • Une présentation générale de l’atelier « EFT Argent et affectivité », à laquelle sont ajoutés des liens vers une première approche de l’EFT, ainsi que d’une démonstration en vidéo, intitulée « L’argent, ça fait peur ? ». Tout cela pour vous permettre de maîtriser très facilement les bases de l’EFT, si vous ne les connaissez pas encore.
  • Un résumé de 5 séances d’EFT concernant les croyances limitantes sur l’argent.  Ce résumé situe les tappings qui vont suivre dans leur contexte.

– ET  12 tappings* (répartis sur 5 audios) sur différentes croyances et émotions concernant la relation à l’argent. Ils sont suffisamment généraux et / ou facilement adaptables pour que vous en tiriez largement profit.  Pour voir enfin l’argent et ce qui le concerne avec de plus en plus de sérénité.

* L’EFT (Emotional Freedom Techniques) est une technique EnFanTine et très efficace, qu’on peut pratiquer seul, par exemple avec l’aide de tappings comme ceux que vous trouverez ici.
Pour connaître les bases de l’EFT, cliquez  sur ce lien

 

Seulement 20€ ? Pour autant de protocoles EFT ?
– Oui. Parce que je souhaite que le maximum de personnes puissent en profiter. Et quand l’argent EST le problème, ce serait de mauvais goût de l’aggraver. Je suis convaincue qu’en travaillant même un peu sur vos croyances limitantes, vous ferez des économies substantielles , bien supérieures à 30€ : soit en dépensant de façon plus logique, soit en vous autorisant à gagner davantage, probablement les deux. Mais je ne veux pas vous compliquer la vie…

C’est pour cela que mes produits (ateliers LIVE, et ensemble de protocoles EFT comme celui-ci) qui concernent l’argent sont toujours à des prix extrêmement bas.

L’énergie de l’argent circule mal dans votre vie ?  Vous trouverez ici des pistes pour y remédier, tout en douceur.

 

« Faire des économies », pour vous, ça rime avec « privations » ?
– Bien obligé(e) : pour économiser, il faut (ou … il faudrait !) faire attention, ne pas dépenser n’importe comment, faire des efforts.

– Mmmh… Un système douloureux, et rarement efficace, je crois…

 

Avec les « yaka » et les « il faut », on ne va jamais très loin. Si le conscient veut quelque chose, et que l’inconscient n’est pas d’accord, c’est toujours l’inconscient qui gagne.

Donc, il est urgent de les mettre d’accord.

 

L’EFT est un excellent moyen pour réconcilier les différentes parties de soi; d’où  cet ebook accompagné d’audios. 

 

Pourquoi l’inconscient voudrait-il dépenser trop  (ou pas assez) ?

Pourquoi l’inconscient peut vouloir dépenser trop (ou rien du tout, c’est souvent les deux faces du même problème) ?

 

Il y a des dizaines de raisons à cela, des vraies raisons, sur laquelle la volonté n’a pas de prise. En voici quelques-unes :

– compenser un manque affectif : on ne s’est pas senti suffisamment aimé (quelle que soit la réalité extérieure). Alors, on compense, en « se faisant des cadeaux », en « se faisant plaisir »… jusqu’au moment moins agréable où l’on reçoit son relevé de comptes. Ou encore : on stocke des objets, ou on accumule l’argent (« ça au moins, on ne me le prendra pas »).

– se punir en s’arrangeant pour manquer d’argent, ou en n’utilisant pas ce qu’on a pour se faire plaisir.

– et tant d’autres raisons.

Nous allons les développer ci-dessous, puis suggérer des pistes pour que ces parties de nous se réconcilient.

 

 L’argent pour « prouver sa valeur », pour compenser un manque

Quand on a soi-même du mal à boucler les fins de mois, on est particulièrement agacé par ces gens qui friment en grosse voiture, avec des costumes apparemment hors de prix… ils sont peut-être souvent à découvert, d’ailleurs. Les problèmes de riches et les problèmes de pauvres sont-ils si éloignés ? Avant tout, ils restent des problèmes d’humains.

 

Alors, que cherchent-ils à faire, avec leurs signes extérieurs (et ostensibles) de richesse ? A « prouver » qu’ils ont de la valeur. Par exemple, aux USA, on dit « Je vaux tant », au lieu de dire « Je gagne tant, ou mes revenus sont de tant » (… comme on dirait en France ? Non, en France, on ne parle pas de ce qu’on gagne 😉  ).

Dans les milieux très riches, on n’a de « valeur » qu’au-delà d’un certain revenu. Dans les milieux pauvres (financièrement), on a généralement plus de « valeur » aux yeux de ses proches si on reste pauvre : devenir riche peut être vécu comme une trahison. Mais celui qui a franchi cette barrière invisible peut avoir envie de le crier sur les toits ! En le montrant à travers ses achats coûteux: « Vous voyez bien que j’ai réussi dans la vie, vous qui me preniez pour un raté… »

 

Dans toutes ces situations, il y a le désir d’être reconnu, de montrer qu’on a de la « valeur », qu’on est « digne » d’amour, de respect (comme si on ne l’était pas TOUS…) .

Si malgré ces efforts, une partie de vous-même continue à ne pas être sûre de votre valeur, elle peut tenter d’ « acheter » l’amour : je pense à une fillette qui apportait d’énormes paquets de bonbons à chaque récréation. Elle obtenait des sourires tant qu’elle pouvait tendre des sucreries aux autres, mais bien souvent, elle terminait la récré seule dans son coin. C’était si triste de la voir ainsi, et de ne rien pouvoir faire…

 

On peut acheter aussi, poussé par un désir inconscient de « faire plaisir » au commerçant, d’obtenir un sourire de sa part, ou par peur de le décevoir si on part les mains vides. Ou par peur d’être considéré comme un « radin ».

Ou encore on veut montrer qu’on est généreux, on donne à tout le monde, on ne sait pas dire non… et on se sent tout penaud quand le banquier nous signale un découvert de plus, ou même le découvert de trop. Pourtant, comment peut-on nous  « punir », alors que nous sommes « tellement gentil » ?

 

Inversement, être ce qu’on qualifie durement d’avare, de radin, peut signifier : « pour une fois que j’ai quelque chose de bien, je le garde ! Je me sens blessé, j’ai une sensation d’arrachement, chaque fois que je dois dépenser ». Ou encore : trahi, traité injustement. Pour certains, toute dépense (ou certaines dépenses seulement) réactive une blessure, en particulier la perception de ne pas avoir été assez aimé.

 

Un autre exemple du symbolisme argent / amour: la façon dont les gens se déchirent au moment d’un héritage, pour quelques euros ou des objets dont ils n’ont souvent même pas vraiment besoin. Que représentent alors cet argent, ces biens matériels, si ce n’est l’amour des parents, et la réactivation de conflits infantiles plus ou moins inconscients (du niveau : « mon frère me piquait toujours mes jouets quand j’avais 5 ans, alors cette fois-ci, il ne va pas me prendre l’amour / argent de l’héritage de Maman ! »).

 

 

L’argent (ou le manque d’argent) pour se punir

On peut aussi estimer qu’on n’a pas le droit de se faire plaisir : on utilisera alors l’argent « seulement pour des choses importantes » (lesquelles ?! C’est une vraie question; la réponse en dit long sur nos véritables besoins), ou on rationalisera en disant qu’on le garde « au cas où ».

 

Autre manière de se priver de ce qui nous plaît : dépenser pour tout et n’importe quoi (achats compulsifs ou presque), et se le reprocher ensuite, le lendemain, et quand on reçoit le relevé de banque. Certains alcooliques disent que l’une de leurs raisons de boire, n’est pas le plaisir que ça leur procure sur le moment, mais la crise de culpabilité qu’ils s’offrent le lendemain, avec la gdb en prime. L’alcool, les dépenses absurdes, etc. , ne seraient que la forme extérieure prise par ce sentiment de culpabilité.

 

On a parlé beaucoup des « sorties » d’argent, on peut aussi parler des « rentrées » : gagner très peu est une façon tellement courante de s’interdire la joie de vivre, et / ou de se dévaloriser….

 

D’autre part, dans les civilisations très marquées par le catholicisme, l’argent est souvent associé au péché et à la menace de l’enfer; et ce, même si individuellement, on l’a beaucoup remis en question : il s’agit d’une imprégnation du cerveau émotionnel, cela n’a rien à voir avec notre compréhension intellectuelle.  Tout cela s’ajoute donc à nos autres « raisons » de nous sentir coupables.

 

 

Dépenser (ou stocker, thésauriser) pour d’autres raisons

Il y a encore des centaines d’autres raisons à la base d’un usage irrationnel de l’argent qu’on a. Quelques exemples :

  • Tout d’abord, la plupart des publicités en rajoutent encore, en vrillant dans toutes ces blessures inconscientes : elles font avaler des énormités au cerveau émotionnel, qui ne demande qu’à les croire. « Si tu achètes tel produit : toutes les femmes vont être amoureuses de toi; ton voisin va être jaloux; etc. etc. »… Un immense besoin d’amour et de reconnaissance qui ne sera satisfait que quelques instants, en imagination…
  • Quand un frère ou une soeur est décédé en bas âge, on « partage » souvent inconsciemment avec lui; et comme le disait une cliente, « la moitié de mon argent s’envole par la fenêtre »…; ou encore on tente de « racheter » , de sauver, un ancêtre qui a fait faillite, ou connu de terribles difficultés d’argent. (voir : psychogénéalogie)
  • On a  peur de savoir où on en est financièrement, on a tellement peur de manquer qu’on n’ose pas regarder la situation en face. On ne connaît pas bien nos priorités faute de projets clairs, alors, on dépense n’importe comment (« au point où j’en suis, un peu plus un peu moins »), ou encore, on ne fait pas un achat qui nous serait pourtant très utile.

Vous êtes vous reconnus dans certaines de ces problématiques ?  

 

Cet atelier est fait pour vous aider… et donc à vous faire faire des économies.

 

 

Des pistes pour en sortir

Voir l’argent autrement

L’argent est un outil d’échanges, en usage chez les humains du XXIe siècle. Un outil, et rien de plus. On peut l’améliorer, mais pour le moment, il est ce qu’il est. C’est aussi un outil qui sert à réaliser nos Rêves, notre Projet de Vie, ce pour quoi on s’est incarné : donc un lien (parmi d’autres) entre le Ciel et la Terre… C’est plus motivant que de le voir comme un symbole d’injustices sociales, on est bien d’accord ?

Par contre, moins on le confondra avec notre valeur personnelle et le fait d’être aimé ou non, plus nous nous sentirons en paix dans notre vie … et dans nos finances. 

 

Avoir des « plans d’urgence », pour limiter les dégâts.

Pendant que vous explorez les sous-sols de votre inconscient, certaines parties de vous continuent à vous pousser à une gestion de l’argent « un peu bizarre »  sont toujours là. Il est important de les satisfaire suffisamment pour ne plus vous mettre en danger financièrement. Quelques exemples :

  • procrastiner (quelquefois, c’est bien !) vos dépenses… repousser à un peu plus tard ce dîner dans ce super restaurant, l’achat de ces magnifiques chaussures, etc. Demain, vous n’y penserez peut-être plus. Et si vous y pensez encore, là, c’est peut-être une bonne idée (ou pas.)
  • canaliser l’envie de dépenser (ce n’est pas forcément « envie d’acheter telle chose précisément, ça peut être seulement une envie de dépenser, c’est différent émotionnellement). Donc, acheter des choses durables, qui vous serviront (vraiment !) plus tard.

Ces « plans d’urgence » sont très importants, ils permettent d’explorer plus tranquillement le problème émotionnel, et le guérir en profondeur, sans qu’il ne s’aggrave pendant ce temps.

 

Reconnaître notre Projet de Vie à travers certaines dépenses soi-disant « compulsives »

Votre entourage vous reproche votre budget imposant de stages et de livres de développement personnel : et si votre Projet de Vie était d’être thérapeute ? Le monde en a bien besoin…

Vous vous reprochez votre collection de minéraux, ou d’objets d’art, et les dépenses qui vont avec ? Et si votre Rêve était d’en faire profiter le monde, sous une forme qu’il vous reste à définir ?

Donc, ne pas s’accuser trop vite de dépenser n’importe comment : quelles dépenses servent seulement à cacher un problème ? Mais aussi : quelles dépenses vous font vraiment vibrer ?

 

Apaiser les différentes parties de nous

Les différentes parties de nous cherchent TOUJOURS à nous aider, mais elles s’y prennent mal.

On peut les imaginer comme des milliers de personnes qui crient, qui pleurent, qui exigent ceci ou cela : des enfants « capricieux » qui veulent toujours plus de cadeaux, ; des vieillards « radins », en réalité traumatisés par la misère, qui ne veulent pas dépenser un sou … tant de monde, issu de votre histoire personnelle et / ou de l’inconscient familial ou collectif.

Mais que veulent-ils en profondeur, au delà de leurs revendications apparentes ? De l’écoute et de l’Amour, rien d’autre.

Et heureusement, il y a aussi en nous des milliers de personnes pleines d’Amour et de joie de vivre.

 

 

Thèmes de l’ebook « EFT Argent et affectivité » :

Ils découlent logiquement des paragraphes ci-dessus, et prennent bien sûr en compte les pistes pour sortir du problème :

séance 1 :  L’argent et la demande affective, les doutes sur la valeur personnelle.

Dépenser trop pour tenter de montrer aux autres qu’on est gentil et généreux, ou à quel point on a « réussi » dans la vie … Pourtant, personne n’a rien à prouver, puisque nous avons tous une Valeur Infinie, que nous sommes tous Reliés à l’Univers, et que nous sommes tous une énergie d’Amour.

Ou au contraire, accumuler et être déchiré à chaque dépense (au moins dans certains domaines) : l’argent peut alors symboliser l’amour qu’on n’a pas reçu suffisamment (ou pas perçu), ou qu’on a désespérément attendu d’une personne en particulier; alors, on ne va pas céder une miette du peu d’amour / argent que l’on pense avoir…

D’autre part, dans votre famille, y a-t-il eu des héritages douloureux, ceux où on se bat entre frères et soeurs pour se partager l’argent / amour des parents ? Ou des contrats difficiles à vivre, que représentaient alors vos associés, collaborateurs ? Tout cela ne représentent que quelques exemples, à vous de retrouver ceux qui vous concernent…

 

– séance 2 :  Argent et culpabilité.

Des dizaines de motifs, dans notre histoire personnelle et collective, nous font ressentir de la culpabilité : collectivement, un conditionnement catholique qui prêche l’austérité, les discours des politiciens qui attribuent la crise à notre « irresponsabilité » et à nos dépenses excessives (ils sont gonflés, quand même…); individuellement, on s’est tous entendu dire qu’on n’était pas gentil(le), qu’on se comportait mal, qu’on méritait d’être puni…

Alors, persuadés de notre « profonde ignominie » (seulement une partie de nous en est persuadée, mais elle influence beaucoup de nos actes), nous expions nos « fautes », nous les payons en nous interdisant l’argent dont nous aurions besoin pour être heureux. Pas seulement l’argent, mais l’argent entre autres.

Et pour achever de verrouiller l’ensemble, on est programmé à se sentir coupable quand on souhaite avoir plus d’argent (même si c’est pour faire plus de stages de développement personnel, pour aider des gens, pour tant de projets généreux)

 

– séance 3 : Le conditionnement à consommer (désastreux à tout point de vue), et les pressions (sociales, familiales) qui en découlent. 

Quand on fait beaucoup de développement personnel, on peut s’imaginer que la pub ne nous atteint que très peu. Pourtant, ne pas écouter la télé ne suffit pas à nous en préserver.

Parce que c’est souvent l’effet de la pub sur les autres qui nous atteint.

Exemples :

  • l’ado qui n’a pas de blouson de marque alors que ses copains en ont un => ils le trouvent « ringard » : même si ce mot n’a aucun sens, le sentiment d’exclusion est réel.
  • Déception (voire agressivité) de certains proches si on ne leur offre pas des cadeaux chers et à la mode.

(voir : « Publicités et conditionnements« ).

Le « marketing de Coeur » cherche à faire connaître des services qui améliorent réellement la vie, dans une optique gagnant-gagnant. En effet, à quoi sert de proposer des services super, si personne n’est au courant ?

Par contre, le « marketing de requin » (dont beaucoup de publicités font partie) cherche à vendre n’importe quoi, sans aucun souci du bonheur des clients. Et pour créer de faux besoins, il vrille dans les blessures émotionnelles des uns et des autres, les aggravant encore (« Tu te sens seul ? Si tu consommes les chewing-gum Machin-Truc, tu vas te faire plein d’amis »); et il s’appuie sur leurs tentatives de compensation (« Tu veux épater ton voisin ? être habillé comme tes collègues, un peu mieux de préférence ? »).

A partir de là, l’argent joue un rôle très provisoire de compensation… et on n’en a plus pour les projets qui nous tenaient réellement à coeur.

 

– séance 4 : autres difficultés affectives liées à l’argent. Divers, en fonction des demandes des participants.

Les séances précédentes feront certainement remonter des croyances, des émotions, depuis les « sous-sols » de l’inconscient. D’où l’importance de prévoir ce temps pour les écouter. Nous parlerons en priorité des questions qui restent en suspens : quelles croyances et émotions sont remontées à la surface, pour vous, au cours de ces séances ?

 

 

Mais voici encore des suggestions : 

– Comment avez-vous vécu les héritages dans votre famille ? Qu’ils soient passés présents ou éventuels, les héritages remuent un nombre incalculable d’émotions, chez toutes les personnes concernées, même inconsciemment.

vente / achat d’une maison : enjeux émotionnels.

– On a vu que souvent, « argent = amour ». Donc, pourquoi l’avarice ? concerne-t-elle certains de vos proches ?

Il y en aurait tant d’autres… Plus on réfléchit sur les enjeux psychologiques derrière l’argent, plus on en trouve.

 

 

Pour faire des économies à vie… tout en étant plus heureux(se), et beaucoup moins « conditionné(e) »

Avez-vous réfléchi à ce que vous coûtaient, financièrement (sans même parler de temps, d’énergie et de joie de vivre)  :

  • cette envie subconsciente de prouver votre valeur, votre gentillesse ?
  • le désir inconscient de réparer des drames familiaux ? (l’inconscient familial a besoin d’Amour, pas de votre argent)
  • la peur de manquer, la peur de dépenser (qui vous a souvent fait passer à côté d’opportunités intéressantes) ?
  • les confusions entre des stratégies provenant de vieilles blessures affectives, et celles qui vous aident vraiment  à concrétiser vos Rêves ?

 

Et si vous guérissiez très bientôt une bonne partie de ces émotions douloureuses, et que vous commenciez à voir l’argent comme un outil (parmi d’autres) au service de votre bonheur et de celui de tous ?

 

Les ateliers « EFT Argent et affectivité » ont été créés dans ce but.

 

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