Publicité et conditionnements

Dès la fin octobre, la publicité commence à parler de Noël.  Pas de son aspect spirituel, non, pas de la Lumière qui renaît dans les moments les plus sombres. Elles ne font que rabâcher : « achetez, achetez, consommez, consommez »…

Et s’il n’y avait qu’à la période de Noël… En fait, c’est toute l’année.

Je souhaite sincèrement que ceux qui sont noyés dans les difficultés financières puissent enfin sortir la tête de l’eau, et qu’ils réalisent enfin leurs Rêves les plus profonds, ceux qui font briller leurs yeux et chanter leur Âme.

Mais … la publicité, les conditionnements à consommer frénétiquement, nous replongent tous dans des faux désirs, dans des culpabilités sans fin, et remettent tant de gens « dans le rouge ».

Vous vous dites peut-être : « On verra après les fêtes »… mais oui, bien sûr : vous risquez de commencer l’année en ayant déjà perdu ce que vous aviez laborieusement gagné l’année précédente… et souvent, vous aurez perdu même ce que vous n’aviez pas.

Tout cela, pour être vraiment plus heureux ?

Je n’ai aucune intention de faire le rabat-joie. Je cherche seulement à faire le tri entre le bonheur de pacotille qu’on nous propose ( impose ?), et ce qui nous comble réellement, en profondeur.

Acheter... pourquoi

 

 

Vous n’êtes pas concerné(e) ? Pas si sûr…

– Je ne regarde pas la télé, je pratique la « diète médiatique », alors, tout ça ne m’atteint pas…

– Sûr, ça vous atteint moins que ceux qui passent des heures allongés sur leur canapé (donc, en état alpha, aussi réceptifs que possible), à regarder des publicités entrecoupées par de la télé-réalité ou un match de foot : le « temps de cerveau disponible », vous connaissez ?.

Les publicitaires connaissent très bien la différence entre le cerveau émotionnel et le cerveau rationnel, et ça ne leur sert pas à se Connecter à leur Sagesse Intérieure.

Ils retournent notre inconscient comme une crêpe, en font ce qu’ils veulent, au moins jusqu’à un certain point.

Shopping Purchase Retail Customer Consumer Sale Concept

 

On est bien d’accord que la plupart des conditionnements ont débuté dès la petite enfance (bien avant, même) Et là, combien de pubs avez-vous ingurgitées, puis chantées, répétées à la récré avec les autres enfants ?

Puis à l’adolescence, avez-vous rivalisé avec les copains et les copines, pour avoir les derniers gadgets à la mode, vêtements et autres ?

  • Ou bien vous avez souhaité le faire.
  • Ou vous avez eu honte de ne pas pouvoir le faire, et vous vous êtes senti humilié devant les moqueries de vos camarades …

Tout cela vous a marqué autant que n’importe quel autre conditionnement; il vous en reste probablement des empreintes, comme chez la grande majorité des Occidentaux (pire :  leur « maladie de consommateurs compulsifs » se répand dans le monde entier).

Si nous ne portions pas ces empreintes, vivrions-nous d’une façon aussi coupée de nos besoins profonds, à commencer par la Nature ?

 

La publicité… et d’autres pièges

Même en étant conscient du conditionnement que nous avons subi, résister nous-mêmes aux miroirs aux alouettes et au chant des sirènes de la publicité, ce n’est déjà pas évident.

Mais il y a aussi beaucoup d’autres pièges bien plus subtils. 

toile d'araignée

Quels pièges ?

Quelques exemples :

  • la pression qu’exerce involontairement votre entourage, eux-mêmes très conditionnés par la pub, la société (et ce, malgré vos efforts de limiter ces influences) : les enfants qui trouvent injuste de ne pas avoir le même jouet, ou vêtement que leurs copains, le conjoint qui se croit moins aimé(e) si il n’a pas un énorme cadeau pour son anniversaire, la famille qu’il faut recevoir avec un festin de roi, etc.
  • donc : la culpabilité, la peur du qu’en dira-t-on, la peur d’être moins aimé(e), de laisser croire aux autres qu’on les aime moins, …
  • le mimétisme inconscient : « les autres » font plein de cadeaux : pour Noël, les anniversaires, la St Valentin, la fête des mères, des pères, des grands-mères, des cousins, des cousines  (ah non, il n’y en a pas encore ? ça ne devrait pas tarder) … et moi, alors ? suis-je un affreux radin / une affreuse radine ?
  • Tout cela développe un égrégore de consommation, de dépendance aux achats y compris aux plus inutiles (et encore je n’ai parlé que de cadeaux !). Nous absorbons cette énergie un peu de la même manière que nous respirons un air pollué.
  • et tant d’autres « pièges » encore. Lesquels sont les pires, pour vous personnellement ?

On a sincèrement envie de faire plaisir aux gens qu’on aime, mais .. il est difficile, dans ce tourbillon d’émotions mélangées, de trouver des cadeaux qui viennent vraiment du Coeur, Et de s’y retrouver, nous-mêmes, dans ce qu’on ressent.

Alors, faire un grand ménage dans la tête, pour en finir avec tous ces conditionnements,  c’est un beau cadeau (gratuit, en plus !) que vous pouvez faire à vous-même et à ceux que vous aimez.

 

Publicité et marketing de Coeur

Il est important de faire la différence entre les deux.

« Le marketing, c’est délivrer le bon message, pour un excellent produit, au bon endroit, à la bonne personne ». (Frank Kern). ça, ça me va, et c’est cette forme de marketing que j’appelle « marketing de Coeur »,

Je précise que l’ « excellent produit » (ou service) doit correspondre à un besoin réel, mais c’est sous-entendu dans la définition ci-dessus.

La publicité crée des désirs là où il n’y en n’a pas, en les faisant confondre avec des nécessités vitales, sans parler des mensonges purs et simples. Avoir une plus grosse voiture que son voisin, ou le dernier blouson à la mode pour épater les copains au lycée,  ce n’est ni une nécessité vitale, ni un désir de notre Âme.

 

Le marketing de Coeur cherche :

  • à faire connaître des produits ou services justes, faits pour le bien de tous, en particulier des clients éventuels, évidemment.
  • à les faire connaître d’une façon qui ne soit ni manipulatrice, ni abêtissante, ni reposant sur le désir d’être « meilleur » que quelqu’un d’autre.
  • à ce que les clients éventuels puissent réfléchir sereinement, en toute connaissance de cause (autant qu’il est possible) pour déterminer si ce qui est proposé leur convient vraiment, maintenant.

En conclusion : une fois de plus, il est essentiel de se déconditionner des bêtises que nous avons en tête, pour pouvoir entendre de mieux en mieux la voix de notre Sagesse Intérieure, qui nous indique ce que NOUS voulons VRAIMENT.

 

Des ateliers EFT, des séances individuelles et des protocoles EFT pour en finir avec les miroirs aux alouettes…

Dans la Boutique, vous trouverez aussi tous les ateliers EFT existant pour le moment, et bien d’autres choses…

D’autre part, j’organise souvent des ateliers (gratuits ou à des tarifs très bas) sur nos relations à l’argent, à la consommation, à la véritable Abondance, celle qui nous fait vibrer.  Vous les trouverez en cliquant sur Agenda.

Bien que l’EFT permette de résoudre seul(e) 80% des problèmes qui se présentent à nous, il en reste 20% : c’est les plus difficiles à repérer soi-même, parce qu’on est « noyé dedans ».

C’est pour ceux-là qu’une aide personnalisée est vraiment utile.

😊
1. Pour voir des témoignages d’anciens clients, cliquez ici.
2. Pour savoir comment se déroulent les séances individuelles, et à quels tarifs , cliquez .

 

séances individuelles d'EFT

 

 

 

2 réflexions sur “Publicité et conditionnements”

    1. Super. ça tombe bien, parce que dans « EFT Argent et affectivité » on va travailler ce soir sur ces conditionnements… et en enlever plein !!!! Bises, à tout à l’heure. 🙂

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