Il ne s’agissait pas ici de croyances à proprement parler, plutôt d’une énergie, d’une sorte de champ magnétique, d’un ensemble d’émotions confuses liés au fait de dépenser de l’argent.
Habituellement, je cherche les « croyances » sous les comportements douloureux. Là, il n’y a pas de croyances en jeu. Si il semble y en avoir, il s’agit plutôt de rationalisations, qui tentent d’expliquer ce ressenti en fonction des circonstances du moment. Ce témoignage m’amène à m’interroger sur les imprégnations émotionnelles que nous avons tous vécu, «pour le meilleur et pour le pire».
Pour le meilleur…
Des travaux ont montré que les cycles de sommeil d’une mère et de son nourrisson coïncident, particulièrement quand elle l’allaite.
Et pour le pire…
Mais les parents sont … humains. (Si on a atteint l’état de Bouddha, on n’a pas d’enfants, on vit autrement !). Ils sont humains, ça veut dire que dans certains domaines, ils « assurent », mais dans d’autres… nettement moins.
On verra dans d’autres articles des réactions moins « Zen » : aux premiers apprentissages d’un tout-petit, et aux difficultés de la vie; Et surtout, on réfléchira à l’imprégnation qui se crée chez leurs enfants.
Les imprégnations émotionnelles : une question de champs magnétiques ?
Un exemple : Amélie a une phobie des serpents, sa fille de deux ans aussi; pourtant, elles n’ont jamais à faire à ces reptiles. Comment cette phobie s’est-elle transmise ? Ni par des paroles, ni par des évènements. Répéter en EFT «les serpents sont dangereux» a peu de chances de marcher pour la petite. «Cette peur, cette peur imprégnée en moi» me semble plus efficace.
Namasté.
