– Hé oui, le rhume, c’est de saison. Moi, tous les hivers, j’en ai au moins un, quelquefois deux; c’est comme ça, c’est la vie.
Si vous avez déjà lu des articles de ce blog, vous vous doutez bien que je n’aime pas beaucoup ce genre de phrase : je suis de plus en plus convaincue que RIEN n’est inéluctable, surtout pas les choses désagréables, même si elles ne sont qu’ «un peu» désagréables.
Alors pour quelles raisons on « attrape » (là, le mot est bien choisi) un rhume, on s’en fabrique un, on demande à l’Univers d’avoir un rhume ?
S’il te plaît, Univers, donne-moi un rhume…
Des croyances…
- La croyance «en hiver, il est normal de s’enrhumer» peut être suffisante pour causer le rhume. L’Univers vous dit alors : «Tu veux un rhume, comme tous les ans ? Tiens, en voilà un beau, j’espère qu’il te fera plaisir.». Effectivement, il fait plaisir à une partie de vous, celle qui a cette croyance : «Ah, je savais bien que ça allait arriver, j’ai toujours raison». (c’est rassurant, d’avoir toujours raison).
- La croyance « le rhume est contagieux » fait aussi beaucoup de dégâts : vos proches sont enrhumés ? Vous n’êtes pas obligé(e) d’y être aussi. C’est beau l’amour, la solidarité… mais ils peuvent s’exprimer autrement, si si, j’vous jure. Il y a aussi : «Tu te crois plus fort qu’eux, en y échappant ? Non, tu n’es pas mieux, allez hop ! Un rhume comme tout le monde.»
Symptôme = information
Les symptômes d’une maladie sont toujours des informations, des messages, à regarder l’un après l’autre, et à suivre aussi dans leurs variations au cours du temps. Tous les rhumes ne sont pas les mêmes, et ils n’évoluent pas toujours de la même façon. Voyons les symptômes les plus courants, et le sens qu’ils peuvent avoir pour vous.
Devant les questions que je vais suggérer, laissez venir ce qui vient, même si c’est illogique, immoral, «stupide», contradictoire; on est multiple, et différentes parties de vous-mêmes
s’expriment à travers des symptômes; ce n’est pas «vous en entier» qui ressentez tout cela :
- le nez qui coule : dans le langage du corps, les écoulements (quelle que soient la partie du corps où ils se situent) correspondent en général à des larmes réprimées. Qu’est-ce qui vous rend triste ? Un exemple : je traînais un rhume depuis une huitaine de jours. Quelqu’un m’a fait remarquer : «Au fait… quand as-tu accompagné Cyrille à l’aéroport ? Ce n’était pas juste la semaine dernière ?». J’ai éclaté en sanglots : oui, ça m’avait rendu très triste, et j’avais contenu mon chagrin autant que je pouvais. Quelques heures plus tard, le rhume était terminé.
- Le nez bouché, et la fatigue : qu’est-ce qui empêche l’air de circuler pour vous ? En d’autres termes : qu’est-ce qui empêche de circuler votre énergie vitale, votre désir de vivre, votre joie de vivre ? Ou encore, qui est-ce que «vous ne pouvez pas sentir» ? Pourquoi ? Qu’est-ce qu’il touche en vous, et en quoi il reflète une partie de vous ? (On n’attire que des évènements, et des gens, qui nous ressemblent : cf Loi d’Attraction).
- La toux, les éternuements : quand on tousse, ou qu’on éternue, on expulse quelque chose qu’on perçoit comme mauvais pour nous. Qu’est-ce qu’on rejette ? C’est à rapprocher du symptôme du nez bouché, tout cela se produit souvent simultanément.
- Un gros nez rouge pas beau, des yeux moitié cocker moitié Dracula, une voix de crapaud (symptômes visibles, et /ou audibles) : pourquoi cette envie de vous enlaidir ? Pour faire fuir les gens ? Ou pour montrer à tout le monde que c’est bien vrai, vous êtes malade ? En fait, vous avez peut-être juste besoin de repos, de vous changer les idées, et vous n’arrivez pas à l’exprimer, de peur de passer pour un paresseux ? Envie de dire aux gens : «Laissez-moi tranquille, j’ai besoin d’être seul(e), de me détendre un peu». Vous pouvez peut-être vous donner le droit d’écouter vos besoins et de les exprimer, sans vous croire obligé de vous justifier. De même la croyance répandue que le rhume est contagieux: est-ce qu’elle sert aussi à dire «S’il vous plaît, ne m’approchez pas pendant quelques jours.» ?
- Mal de tête : on parle quelquefois de «rhume de cerveau». Un mal de tête exprime souvent un conflit intérieur, des contradictions qu’on n’arrive pas à résoudre. Qu’est-ce qui vous soucie ? Qu’est-ce qui vous «prend la tête» ?
- Frilosité : est-ce qu’on se sent dans une atmosphère chaleureuse, affectueuse ? La frilosité est souvent associée à un sentiment de solitude. Dans ce cas, en quoi une partie
de vous-même recherche cette solitude et ce rejet ? (cf. «Merci l’Univers… mais j’avais vraiment demandé ça ?!»)
- Fatigue : on dit «Je suis fatigué parce que je suis enrhumé.» Et si c’était le contraire ? Si le rhume vous «autorisait» à ressentir cette fatigue (physique et / ou mentale) que vous conteniez à grand peine jusque là ? Qu’est-ce qui vous fatigue ?
Heureusement, on a rarement tout cela à la fois. Mais quelles que soient les informations que nous donne une maladie (elle essaie toujours de nous éviter de vivre quelque chose de pire), il est important de s’appuyer sur l’idée que notre Sagesse Intérieure a la solution à notre problème.
Si les médicaments n’ont pour but que de faire arrêter les symptômes, c’est aussi illogique et dangereux que de faire débrancher les voyants rouges d’un tableau de bord de voiture : l’inconscient s’exprimera autrement, et plus fort, c’est inéluctable (ça ne sera pas nécessairement à travers un symptôme corporel, il peut s’exprimer à travers des difficultés relationnelles, financières, l’inconscient est très «créatif» sur ce plan-là…).
Si les médicaments peuvent diminuer les symptômes, suffisamment pour qu’on aie l’esprit plus clair, de façon à se guérir soi-même plus confortablement : oui, là, ils sont
vraiment une aide.
D’autres causes, encore :
Nos objectifs inconscients
– «Allô Tata Ursule ? Je suis enrhubé, kof, kof, je boudrais pas te passer mon rhube, atchoum. Je ne pourrais pas venir à ton invitation, désolé.»
Ou encore, on a un problème à résoudre, et une partie de nous est persuadée qu’on n’y arrivera jamais. Alors… on essaie de «gagner du temps» : en fait, on en perd, bien sûr.La plupart des problèmes à résoudre restent là, rhume ou pas rhume.
On peut même avoir un rhume pour réactiver des bons souvenirs : Maman était si gentille quand elle bravait les microbes pour venir vous soigner, vous vous sentiez tellement aimé et chouchouté ! C’est une façon de se recharger, mais… il y en a sûrement de meilleures.
En conclusion :
Dans le prochain article, un protocole d’EFT pour renforcer tout ça; pour le faire, cliquez ici. (et vous découvrirez dans les commentaires comment je me suis guérie un énorme rhume grâce à ce protocole et à deux autres articles très complémentaires de celui-ci :
Comment allez-vous ? Donnez de vos nouvelles dans les commentaires, merci 😉
Important : Même si de très nombreux témoignages montrent des résultats spectaculaires suite à l’utilisation de l’EFT, il n’y a aucune garantie que chaque personne obtiendra le même type de résultats.
D’autre part, l’EFT ne prétend en rien remplacer un traitement médical, mais elle peut en être un complément appréciable.
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bonjour Claude c’est notre ego qui nous commande et on pense et on fait des actes et on dit ces phrases inconsciemment sur le rhume ,je sais que le rhume est du aux virus ,mais la prévention c’est notre devoir
merci Claude
bonne journée
karim
Des virus et microbes en tout genre, il y en a partout dans l’air qu’on respire, indépendamment même de la pollution. Mais ils ne sont agissants que si l’inconscient de la personne les accepte.