Plusieurs personnes travaillent ensemble, dans le cadre d’un groupe d’EFT.
Danielle travaille sur un mal de tête, les autres l’accompagnent, mêmes gestes, mêmes phrases : « Même si j’ai mal à la tête, je m’aime et je m’accepte complètement ».
Et… « miracle » : Karine, angoissée à la veille d’un examen, commence à se détendre. Pierre voulait guérir une tendinite : il voit l’intensité de sa douleur passer de 8 à 5, avant même d’avoir informé le groupe de son symptôme.
Il s’agit d’un exemple presque banal de « bénéfices partagés« . Comment cela fonctionne-t-il? A la limite, peu importe, quand on voit les conséquences extraordinaires de ce phénomène.
Des tentatives d’explications
– les groupes de développement personnel, quelle que soit la technique qu’ils pratiquent, génèrent un égrégorepositif, qui facilite les guérisons.
– D’autre part, tout problème a des causes émotionnelles, et ces émotions sont proches, toutes plus ou moins reliées à des peurs. Si une personne du groupe travaille sur la peur
qui à l’origine de son mal de tête, les autres travaillent en même temps sur leurs propres peurs, ce qui a de fortes chances de faire décroître leur symptôme.
Quelques conséquences des bénéfices partagés :
groupes d’EFT sont constitués de plusieurs dizaines de personnes : on se représente donc les immenses bienfaits qu’apporte ce phénomène.
– les protocoles d’EFT, bien qu’ils soient « préfabriqués », concernent des difficultés où les utilisateurs peuvent se reconnaître; ces derniers y trouvent donc leur compte, d’une façon certes moins ciblée que dans une séance individuelle. Par contre, on peut les travailler à son rythme, et aussi souvent qu’on le souhaite. C’est donc simplement une approche différente, complémentaire des séances, ou de rondes faites seul(e).
