Abandonner les programmations défaitistes.

microscopeSi on regarde nos pensées « au microscope », on peut quelquefois percevoir, au cours de certaines actions, une sensation de : « à quoi bon ? ça ne va servir à rien, ça ne va rien m’apporter, ça ne va pas marcher. »

 

Pour se motiver, on devrait pouvoir trouver mieux…

 

C’est comme si, sur certaines « routes », on roulait avec le frein à main.

 

 

Ce discours est rarement conscient ; mais il a d’énormes conséquences.

Cela peut se manifester de façon insidieuse dans tous les domaines : quelques exemples parmi des centaines d’autres : aller à un rendez-vous d’embauche en se disant : « Bof, il y en a des dizaines d’autres sur le poste, ils ne vont sûrement pas me prendre » ; pour un collégien, ça peut être : « à quoi bon m’appliquer pour ce devoir ? De toute façon, je ne comprends rien à cette matière et le prof ne peut pas me saquer » ; cuisiner en se disant : « pfff… ils vont encore critiquer mon plat » ; etc. etc. Bon, j’arrête les exemples, ils sont trop mauvais pour le moral.

Souvent, on ne se rend même pas compte de ce discours, on n’en souffre pas consciemment ; mais  il s’exprime à travers les actes, plus exactement le manque d’actes : « Comment cela se fait-il ? Je n’ai rien fait de ma journée… ». Pas étonnant, puisque tant de situations étaient accompagnées de ce « à quoi bon ? ».

 

Et en fin de compte, le chômeur traîne pendant des mois sans travail, le collégien perd des précieuses heures de sa vie à attendre la fin des cours, et l’atmosphère familiale chez le / la cuisinier(ère) déprimé(e) n’est certainement pas très joyeuse…

 

Et, quand on connaît la Loi d’Attraction, on peut prévoir à quoi aboutiront ces ruminations…
« – Tu t’attendais à échouer, à être triste ?! Eh bien voilà, c’est fait ! . Voilà comment tu as parfaitement « réussi »  … à attirer l’échec ».
Et la « pauvre victime » peut même pousser le vice jusqu’à conclure : « Ben tu vois, je sentais bien, au fond, que ça ne pourrait pas marcher ! »

 

 

Expression de ce discours mental :

Ce discours s’exprime à travers des rationalisations, la mise en accusation des autres, des circonstances : dans les situations ci-dessus, ça peut être : « normal que je ne trouve pas de travail, c’est la crise ! » ; « ben oui, les cours sont trop durs, et de toute façon le prof explique mal » ; et encore : « ils n’aiment que les hamburgers frites ! On ne peut rien manger d’autre, dans cette famille. »

Ou encore, il ne s’exprime pas du tout : seulement de la fatigue, du « pas envie », du « ras-le-bol », ou une envie soudaine de faire d’autres choses, qui risquent aussi de lasser rapidement, à la moindre difficulté.

 

 

Pourquoi ce « à quoi bon ? »

Deux causes possibles, l’une n’excluant pas l’autre :

 

  • une habitude de pensée : d’après la Loi d’Attraction, qu’est-ce qu’une pensée attire en premier lieu ? Réponse : une autre pensée analogue. Tout cela se manifeste par la création de synapses noires, puis d’ « autoroutes de synapses noires », chaque synapse en créant d’autres, et ainsi de suite, en exponentielle. Cette habitude peut s’être créée depuis la petite enfance. Alors : STOP !!! Mais on comprend que ce soit difficile : il s’agit vraiment de remonter une pente, qui risque de devenir de plus en plus raide.

 

  • Un événement (ou ensemble d’évènements) qu’on appréhende ou qu’on vit douloureusement, « met toute la machine en panne ». Le chômage peut en être un, de même, une maladie, une séparation, un échec, peut donner le sentiment que rien n’a de sens, que tout est fichu : « No future », comme disaient les punks. Mais cet événement peut être aussi le point de départ d’une habitude de pensée : il est donc nécessaire de le voir, le plus tôt possible comme une opportunité, plutôt que comme une catastrophe.

 

Pour retrouver son optimisme :  « Protocole EFT : abandonner les programmations défaitistes ».

 

 

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