Consoler l’Enfant en demande : tapping + audio

Consoler l'enfant en demande

Une partie de nous a tellement besoin de d’Amour qu’on est  souvent en train d’en réclamer aux autres…  sous des formes quelquefois très étranges (tenter à tout prix de se faire remarquer, en bien ou en mal, ou au contraire, être soumis au point de passer à côté de sa vie, revendiquer, tomber malade pour qu’on s’occupe de nous, la liste serait interminable).

 

Cet amour qu’on réclame, on le réclamait sans doute dans notre passé. On essaye toujours de cicatriser les vieilles blessures, une zone douloureuse de l’enfant qui appelait sa mère qui n’arrivait pas assez vite selon lui : en fait, les quelques secondes qui s’écoulaient lui paraissaient une éternité.

 

Et si on a attiré dans notre vie des gens qui ne sont pas assez chaleureux à notre goût, c’est cette zone douloureuse en nous qui les attire.

 

Est-ce que si on guérit cette zone, on va forcément faire fuir ces gens qu’on aime ? C’est une éventualité. C’est sans doute vrai dans la situation d’une femme battue, mais probablement pas dans le cas de relations ordinaires, simplement pas assez douces. Et là, au contraire, la relation a de fortes chances de s’améliorer.

 

 

Tapping et audio

 

Pour écouter l’audio, cliquez sur le lien ci-dessous : 

15.3. Pr EFT Consoler l’Enfant en demande

Merci à l’amie qui a participé, pour que nous fassions un protocole EFT à deux voix 🙂
Même si une partie de moi a tellement envie qu’on s’occupe d’elle, je m’aime et je m’accepte totalement, complètement.

Même si une partie de moi tellement besoin d’affection, je m’aime et je m’accepte complètement, totalement.  Cette partie de moi, c’est une zone blessée en moi, qui existe depuis très longtemps ; on a à peu près tous la même, à des degrés divers. Donc personne ne doit à me la reprocher. Je fais simplement ce qu’il faut : je suis en train d’essayer de la guérir, et j’y arrive de plus en plus. (1’20)

 

consoler

 

 

Un moment de tristesse interprétée comme une plainte continuelle…

  • Cette partie de moi qui pleure…
  • En plus les autres me reprochent
  •  ils disent : « arrête de te plaindre
  • arrête d’être en demande
  • arrête de toujours me demander quelque chose
  • arrête de vouloir qu’on résolve tes problèmes
  • arrête de toujours pleurer et te plaindre ».
  • Si ils nous disent ça, c’est parce qu’ils ont eux-mêmes
  • une zone de larmes,
  • la même que celle qui nous fait nous comporter comme ça ;
  • et cette zone de larmes chez eux
  • amplifie notre discours à un point incroyable. (2’30)
  • On dit pendant 30 secondes « c’est pas marrant, j’en ai marre »,
  • on dit ça pendant 30 secondes,
  • et les autres entendent  « ça fait une demi-heure que tu n’arrêtes pas te plaindre ! »
  • C’est pas vrai.
  • On ne s’est pas plaint pendant une demi-heure ;
  • on a juste poussé un gros soupir, en quelque sorte.
  • Et ils nous disent :
  • « Oh la la, c’est dramatique que tu fais ! »
  • Non : c’est seulement parce que ça touche leur zone blessée à eux.
  • Alors je ne suis pas obligée de les croire
  • ni de me dire que j’ai quelque chose qui ne va pas.
  • Non. J’exprime à un certain moment un mal-être,
  • mais je ne suis pas aussi lourde à traîner
  • que certains me font croire.
  • C’est juste une zone blessée qui réactive une autre zone blessée. (4’)

 

 

Accepter ce que je ressens

  • Donc : j’accepte complètement ce que je ressens
  • et c’est la première condition pour pouvoir le guérir.
  • Autrement, je chercherais juste à cacher cette émotion
  • et à ne pas la ressentir ;
  • parce que je suis la première à me la reprocher. (4’50)

 

  • Alors, voilà une bonne chose de faite : j’arrête de me la reprocher.
  • OK une partie de moi a besoin de câlins et tendresse;
  • une partie de moi n’en a jamais assez.

 

  • Peut-être pas, après tout …
  • après tout, peut-être qu’il y a moyen de l’apaiser vraiment.
  • on a juste dit que je n’en avais jamais assez :
  • c’est peut-être  pas vrai non plus, alors.
  • Peut-être que je peux vraiment apaiser cette zone de souffrance.
  • Elle n’est pas une malédiction
  • Je ne mérite pas de souffrir.
  • Je n’en demande pas trop, ni aux autres ni à la vie.
  • Je veux juste être heureuse, et ça, c’est plutôt normal !

 

  • Un enfant en moi est en train de pleurer ;
  • elle voudrait tellement plus de tendresse…
  • Je reconnais mon besoin de tendresse.
  • Mais une partie de moi donne à cet enfant beaucoup de tendresse,
  • il en a besoin …
  • Je m’interdisais juste de lui donner cette tendresse
  • à cause de ce qu’on m’a reproché, sur mes demandes affectives …
  • plus on me les reprochait, plus je m’interdisais de me donner la tendresse,
  • et plus je frustrais cet enfant qui pleure
  • et plus on l’entendait pleurer.
  • C’était un vrai cercle vicieux. (7’25)

 

 

Le droit de se donner de la tendresse…

  • J’ai le droit de me donner la tendresse
  • ça ne veut pas dire que les autres ne m’en donnent pas !
  • j’ai juste le droit de renforcer les parties de moi qui souffrent, et de les guérir ;
  • J’ai juste le droit d’apaiser les parties de moi qui souffrent.
  • C’est normal
  • et j’ai raison de le faire.
  • Je donne plein d’amour à cet enfant en moi.
  • moi je ne me censure plus, de moins en moins,
  • pour lui donner cet amour. (8’30)

 

  • Cet Amour vient ma Sagesse Intérieure
  • c’est simplement une façon de se connecter à l’Univers
  • une façon de se ressourcer à la Source.
  • qui peut m’interdire de me connecter à l’Amour de l’Univers ?
  • qui peut me le reprocher ? (8’50)

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Ne plus jamais s’interdire de se connecter à l’Amour

  • Et pourtant je me le reprochais jusqu’à présent,
  •  en me traitant de geignarde, de pleureuse,
  • de je ne sais quoi …
  • en ravalant toute ma souffrance.
  • Je m’y prenais très mal …

 

  • Maintenant j’ouvre mon cœur, mes cellules, mon être entier
  • à tout cet Amour qui vient de l’Univers
  • à la conscience que nous sommes tous une énergie d’Amour
  • à la conscience que je suis une énergie d’Amour
  • et que l’état normal c’est que l’Amour circule en moi à profusion.
  • J’en ai le droit.

 

  • Je le « mérite », si on peut dire, je le mérite sans aucune condition ;
  • parce que dans le mot « mériter », il y a des conditions.
  • On est tellement habitués à l’employer
  • que … je dis « je le mérite » quand même,
  • que  je me dis « je le mérite » quand même, ça apaise peut-être des parties de moi …

 

  • En fait, je n’ai rien à faire pour gagner cet Amour
  • je n’ai pas être plus ceci ou moins cela
  • je n’ai qu’à déverrouiller la porte et Le laisser entrer ;
  • et prendre l’habitude de ne pas la refermer. (10’50)

 

  • L’Amour, c’est l’Energie qui est à la base de notre vie.
  • Nous sommes une énergie d’Amour.
  • et tout le reste, c’est juste des bêtises, des croyances
  • Je les laisse tomber de plus en plus.
  • Je les laisse tomber de plus en plus.

 

 

Maintenir sa porte ouverte à l’Amour

  • La seule chose que j’ai à faire,
  • c’est de rester vigilante, pour laisser ma porte ouverte à l’Amour.
  • Elle se referme encore un peu facilement.
  • Alors, je la rouvre…
  • de plus en plus facilement.
  • Je vois quand elle a tendance à se refermer,
  • quand on m’a dit quelque chose ou quand JE me suis dit quelque chose.
  • Je pense tout de suite à surveiller cette porte,
  • Et à la rouvrir.
  • Et il y a de plus en plus de Lumière et d’Amour qui circulent en moi,
  • pour mon plus grand bien, et pour le plus grand bien de tous. (12’30)

 

Je vous souhaite de recevoir beaucoup d’Amour ; et d’en donner, c’est indissociable.

Namasté.

 

 

 

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