A l’heure actuelle, de plus en plus de gens s’aperçoivent que les dirigeants les manipulent depuis des années, je dirais même des millénaires. Pour beaucoup, leur réaction est faite de désirs de vengeance : « On va leur faire payer le mal qu’il nous ont fait, on va leur couper les c…, etc. ». Et autres promesses toutes aussi « pacifiques ».
De mon point de vue, nous vivons l’Apocalypse au bon sens du terme (ce mot signifie Révélation). C’est à la fois :
- la révélation des Ombres qui dirigent la population et de nos Ombres intérieures
- et aussi la (re)prise de conscience de notre Lumière, de Qui Nous Sommes Vraiment. TOUS sans exception. Et les désirs de vengeance ne font que retarder cette prise de conscience.
Pourtant, certains considèrent les désirs de vengeance comme inéluctables, humains, et trouvent même que c’est normal. Mais en voient-ils les terribles conséquences ?
- heureusement, la plupart des gens ne passent pas à l’acte. Cependant, ce désir laisse des traces profondes dans leur inconscient et celui de leurs descendants. On en parle au paragraphe suivant : Désirs de vengeance transgénérationnels.
- Mais d’autres passent à l’acte et sont convaincus qu’ils ont raison de le faire. Dans le paragraphe suivant, je tenterai de comprendre (un tout petit peu !) les origines de la violence d’un « braqueur de banques », Jesse James.
- Dans l’article suivant (Apaiser les désirs de vengeance), on se posera la même question, cette fois à propos des frères Dalton (les vrais). Et surtout on proposera des éléments de solution, pour que ces dramatiques cercles vicieux s’apaisent enfin.
Désirs de vengeance transgénérationnels
Combien de désirs de vengeance transgénérationnels hantent notre inconscient à tous ? Des parties de nous veulent venger je ne sais qui du Moyen-Âge, des guerres de Louis XIV, de Napoléon, de la Révolution française, ou de l’époque de Néanderthal, etc. etc. Ah, j’oubliais : ceux du temps des Atlantes, etc. Plusieurs par incarnation, plusieurs par ancêtre, et nous avons beaucoup, beaucoup d’ancêtres, si on remonte aussi loin. Sans compter les désirs de vengeance issus de nos vies antérieures.
Tout est fait d’énergie, en ce sens nous sommes tous des champs magnétiques. Le champ magnétique de chacun est la résultante des champs magnétiques :
- de ses vies antérieures
- de ses ancêtres
- de cette vie.
Nous sommes tous des champs magnétiques
Tous ces champs magnétiques se combinent entre eux : ils ne s’additionnent pas, heureusement. Il n’y a pas le désir de vengeance :
- du petit homme préhistorique à qui un grand costaud a piqué son steak de mammouth,
- ajouté à celui du serf dont le champ a été ravagé par un seigneur,
- ajouté à celui de l’habitant du pays Truc qui a vu ses proches massacrés par des soldats du pays Machin
- le tout ajouté, dans une autre vie, à celui de l’habitant du pays Machin qui a vu ses proches massacrés par des soldats du pays Truc.
D’après ce que j’en comprends, ces champs magnétiques se combinent entre eux. Avec la Loi d’Attraction, les désirs de vengeance du XVe siècle attirent les guerres du XVIe siècle, le tout attirant celles du XVIIe, etc. Un peu comme des ricochets.
Il semble aussi que quelquefois, les gens se calment.
Parce qu’heureusement, la conscience permet de refroidir un peu ces terribles brûlots intérieurs qui imprègnent nos inconscients à tous, et l’inconscient collectif de l’humanité.
D’où l’importance capitale, l’extrême urgence, de déprogrammer nos inconscients de ces mémoires infernales. Ainsi que de notre conditionnement à la vengeance. Il faut voir les choses en face : on l’a tous. Même le fait de regarder quelqu’un de travers, de dire du mal de lui, de penser du mal de lui, c’est une sorte d’agression énergétique, de vengeance énergétique. Ce que je dis là s’applique à TOUS les êtres, y compris les « très difficiles à Aimer », comme nos « chers » dirigeants.
Passages à l’acte : analyse de l’histoire des « braqueurs de banques »
Je n’ai aucun goût pour les histoires de bandits et de vengeance, sauf : pour essayer de comprendre ce qui peut amener des humains à commettre des horreurs, et en plus, à en être très fiers. Et aussi quel contexte social et politique génère des foules de « desperados » (ce mot veut aussi dire : « désespérés« ), illustres ou inconnus.
Je souhaite comprendre ce qui amène un gamin blessé à entrer dans un cercle vicieux d’horreurs qui ne font qu’aggraver ses désirs de vengeance et ses souffrances. Un gamin blessé par l’histoire, ses conditionnements, la pauvreté, un milieu social dramatique, la douleur de voir ses proches malheureux, et sans doute en plus par des mémoires transgénérationnelles compliquées. Tout cela fait vraiment beaucoup.
Et les exactions de cet ex-gamin blessé vont créer bien d’autres gamins blessés (ses victimes et les enfants de ses victimes), avec des conditionnements et des mémoires transgénérationnelles tout aussi compliquées. Des professionnels de l' »art » de la guerre affirment qu’un tué génère 7 résistants. Magnifique ! Continuons comme ça… 😢😭😨
D’où le titre de cet article : La réaction en chaîne des désirs de vengeance.
On parlera ici de Jesse James, puis des frères Dalton dans l’article suivant.
Jesse James : Histoire du hors-la-loi le plus mythique du Far West
C’est le titre de cet article, accompagné d’une vidéo. L’article reprend exactement le texte de la vidéo.
Voici une partie de la conclusion de l’article :
« Jesse James était donc un personnage bien plus complexe qu’on pouvait le penser. Ce n’était pas un simple hors-la-loi qui volait pour l’argent, il se battait pour une cause politique.
Toute sa vie, Jesse la mènera avec un sentiment de vengeance envers ceux qui l’avaient jadis défait.
Son exemple nous montre finalement à quel point les conflits d’une époque et le parcours d’une vie peuvent changer le cœur d’un homme ».
J’y ajoute : surtout s’il sait pas que nous sommes des Êtres multidimensionnels et qu’il ne connaît pas la Loi d’Attraction. On développe cette idée dans l’article suivant : « Apaiser les désirs de vengeance« .
Un rapide résumé de la vie de Jesse James.
L’enfance, le conditionnement sudiste
- Ses parents, son frère aîné Frank et sa petite soeur, vivaient dans une modeste ferme de 3 pièces, dans le Missouri. Ils pratiquaient la culture du chanvre, avec l’aide de 7 esclaves (quand même ! Et il ne s’agissait pas d’une famille riche).
- son père, attiré par la recherche de l’or, quitte sa famille pour prospecter, puis meurt loin de chez lui.
- après une période très difficile où les garçons James doivent être séparés de leur mère, celle-ci se remarie et la famille se reconstitue.
La guerre de Sécession, et la misère familiale
- Quand la situation semblait s’être apaisée, la guerre de Sécession éclate, à l’automne 1860. Jesse a alors 13 ans.
Abraham Lincoln, récemment élu, souhaite tout faire pour abolir l’esclavage. Oh qu’il a raison, bien sûr. Cependant pour celui qui a été élevé dans un conditionnement d’esclavagiste, pour qui toute la vie « normale » a été structurée autour de cette horreur, c’est dramatique. (voir : l’article « L’apprentissage du mépris. Haïr par amour ».) - Suite aux nombreux drames personnels qu’engendrent toutes les guerres, l’adolescent développe un immense désir de revanche.
- A la fin de la guerre, sa famille se retrouve dans la misère. Ils n’ont plus d’esclaves, quel drame ! Sérieusement, leur moyen de subsistance – la culture du chanvre- est perdu. Que faire ?
- L’occupation oppressive des soldats de l’Union sur son territoire aggrave encore la situation, Jesse, bientôt aidé de son frère aîné, est déterminé à se défendre. Il sait que les banques détiennent principalement les richesses du Nord, et ce, même dans les banques du Sud. Alors, en les dévalisant, il va faire coup double : trouver de l’argent, et se venger des unionistes.
Braquages de banques, attaques de trains, et fin tragique
- C’est le début d’une suite de braquages de banques, puis d’attaques de trains. Il tente de se persuader qu’il est une sorte de Robin des Bois, qui pille les riches pour donner aux pauvres. Des petits groupes armés se forment autour de lui, se défont, se reforment. Certains de ses amis sont tués, la haine et les désirs de vengeance ne font que s’accroître.
- Jusqu’à la trahison finale et sa mort à 34 ans, en 1882.
Le « service marketing » de Jesse James
Petite remarque un peu hors sujet, mais intéressante : le hors-la-loi avait sympathisé avec le fondateur du Kansas City Times, journal du Missouri. Farouche partisan de la cause confédérée, ce dernier trouve en Jesse James un excellent moyen de mettre en avant ses idéologies politiques. Il s’associe avec lui et promeut ses exploits dans son journal à travers pléthores de lettres que Jesse écrit lui-même. Où bien sûr, il clame son innoncence, encense la cause confédérée et dénonce la politique de ses ennemis.
Intéressant, non ? Contrairement aux milliers de desperados inconnus qui ont terrorisé les futurs Etats-Unis, celui-ci disposait d’un bon « service marketing ».
Oh, certains médias auraient-ils des liens avec des tueurs ? Non, jamais, c’est sûrement le seul cas dans l’histoire 😉😥
Dans l’article suivant « Apaiser les désirs de vengeance » , on s’interrogera encore sur l’origine de la violence des frères Dalton (les vrais). Et surtout on cherchera des éléments de solution, pour que ces dramatiques cercles vicieux s’apaisent enfin.
Même si ça peut sembler naïf ou utopique : après tout, l’humanité est à l’aube d’un immense changement, dans le bon sens. Et plus nous mettons d’énergie dans ce sens, plus il se produira vite.
Pour contribuer à nettoyer nos mémoires transgénérationnelles…
Nous (et nos ancêtres) avons tout fait, et tout subi. Et nous sommes tous Reliés.
A l’heure actuelle, le besoin de nettoyer nos mémoires de victime et nos mémoires de bourreau est de plus en plus conscient chez beaucoup. C’est indispensable pour nous sentir plus apaisé, et pour contribuer à apaiser le champ magnétique de l’humanité.
Chaque fois qu’on se libère de blessures, on contribue à libérer le monde de blessures équivalentes.
L’EFT (Techniques de Libération Emotionnelle) est un outil incroyablement efficacement pour la guérison de nos anciennes blessures. Et pour être beaucoup plus heureux, c’est le but !