Je croyais que le coronacircus était le plus grand canular de l’humanité.
A côté de ce qui a été fait avec l’Ancien Testament, c’est un poisson d’avril pour école maternelle. Ecoutez cette vidéo de Julie Couvreur, « La Bible est un grand mensonge » , qui répond à des foules de questions qu’on ose rarement poser :
– Comment un « Bon » dieu peut-il demander à Abraham de sacrifier son fils Isaac ?
– Pourquoi parle-t-on d’un dieu vengeur, courroucé ?
– Pourquoi faudrait-il « craindre Dieu » ?
En fait, Yahvé n’a rien à voir avec l’Energie d’Amour (ou champ quantique, ou Univers) qu’on redécouvre enfin depuis quelques années. C’est juste un dictateur sanglant issu d’un groupe extra-terrestre appelé les Elohim (extraterrestre, ou race autre qu’humaine, en tout cas). Les Elohim avaient beaucoup de points communs avec les humains, d’où leurs « mariages » avec des humaines (autre explication : un bidouillage génétique à partir de leur propre ADN : cf les Anunakis). Mais ils vivaient beaucoup plus longtemps : ce qui a permis à certains de se faire passer pour immortels.
Vu comme ça, c’est enfin cohérent.
Vous comprenez quelque chose à l’Ancien Testament, vous ?
J’ai beaucoup essayé de comprendre ce livre franchement étrange :
– pour la Genèse, j’arrive tant bien que mal à une compréhension symbolique à peu près cohérente.
– pour quelques Psaumes, j’ai lu des belles interprétations dans des livres de Joseph Murphy.
– J’ai écouté plus récemment des vidéos d’Issâ Padovani sur différents passages de l’Ancien Testament. Il donne aussi des éléments de compréhension très intéressants.
– mais pour tout le reste : dans tout ce que j’ai pu lire, il n’était question que de batailles, de meurtres, de génocides. Et aussi d’une foule d’interdits : 15 pages d’interdits alimentaires tout aussi étranges les uns que les autres. Mais un Dieu d’Amour, dans tout ça, un message philosophique qui aide à se Relier à l’Univers et au Meilleur de Nous-mêmes, je l’ai cherché sincèrement… mais franchement, je ne l’ai pas trouvé.
Des significations symboliques, quand même, en cherchant bien…
Je me suis contorsionné le cerveau pour trouver des sens symboliques dans l’Ancien Testament, partout où j’ai pu; j’en ai trouvé, un peu :
- l’adoration du Veau d’Or : la tendance si humaine à oublier l’Essentiel au profit du matériel. (mais pourquoi un veau ? certains parlent d’un dieu égyptien, le taureau sacré Apis, symbole de fertilité. Mais un taureau, ce n’est pas un veau. Alors ? ).
- la Tour de Babel : l’ambition de plus en plus démesurée sépare les hommes entre eux, au point qu’ils ne se comprennent plus; autre interprétation proche : ils passent de la communication par télépathie à la communication par les mots, avec toutes les limitations qu’ils présentent.
- le jugement de Salomon. Ce roi dit à deux femmes qui se disputaient un bébé : « Qu’on le coupe en deux, et qu’on donne une moitié à chacune ». L’une d’elle a accepté, l’autre a murmuré : « Si c’est cela, donnez-lui l’enfant »; c’est évidemment cette dernière qui est repartie avec le bébé (entier, heureusement.).
Je pense à ce passage de la Bible chaque fois que des divorces se passent mal et que tant d’enfants sont réellement « coupés en deux » émotionnellement…
- Le droit d’aînesse contre un plat de lentilles : ce serait évidemment « complotiste » de penser au pass nazitaire, pour lequel on troque notre Souveraineté spirituelle contre le droit de manger des lentilles au restaurant. Ou encore, où l’on est contraint de l’utiliser, sous peine de mourir de faim : c’est ce dont il est question dans le passage biblique. Esaü est sur le point de mourir de faim, et son « gentil petit frère Jacob » ne lui donne à manger que s’il lui concède son « droit d’aînesse ». … ça ne s’appellerait pas du chantage, ça, par hasard ?!
De l’espoir, dans l’Ancien Testament ? Où ça ?
Quelques autres passages font sens, comme ceux-là, un peu « tirés par les cheveux », mais surtout venant comme des petites îles sur un océan de mort, de sang et de larmes.
Et encore, ils ne font que de souligner quelques « ratés » de l’humanité, ils ne lui donnent pas beaucoup de raisons de vivre. C’est très très loin en dessous du message du Christ : « Aimez-vous les uns les autres ».
Pour ces réflexions, je me suis basée sur cette vidéo : « La Bible est un grand mensonge » , de la chaîne YT : « Julie Couvreur – Une autre réalité » ; ses autres vidéos analysent les différentes civilisations d’une façon bien plus cohérente que ce qu’on a appris à l’école. Par exemple : « L’archéologie censurée. »
De l’espoir, des raisons de vivre, il y en a ! Plein ! Mais pas beaucoup dans l’Ancien Testament, c’est tout.
Un mensonge pire que tous les autres…
Le pire de tous les mensonges, si nombreux dans l’histoire de l’humanité, c’est l’idée que nous ne sommes rien : des tout petits Playmobils faits pour travailler aux champs, en usine, à « métro-boulot-dodo », faits pour obéir et pour se taire. Et pour perpétuer ce système fou, absurde, ubuesque, terrible.
Alors que nous sommes des Êtres Puissants et pleins d’Amour, des Êtres multidimensionnels, venus faire des expériences terrestres.
Heureusement que l’EFT , et tant d’autres techniques, permettent de nettoyer de plus en plus l’immense « crasse » de nos conditionnements.
Pour éviter la haine contre les « méchants », pour éviter de nous prendre pour des pauvres victimes des méchants satanistes, on peut aussi imaginer tout cela comme un jeu d’échecs entre l’Ombre et la Lumière.
Où nous apprendrions à nous rappeler Qui Nous Sommes, à savoir que nous sommes bien Plus que notre corps physique et notre mental.
Et pas de souci, on sait bien que « La Lumière a déjà gagné ».
Comment la grammaire a démasqué le grand mensonge de la Bible
Dans la vidéo ci-dessus, Julie Couvreur fait allusion au travail de Mauro Biglino, spécialiste de l’hébreu massorétique, et des langues grecques et latines. Il a traduit les 17 livres de l’Ancien Testament. Les 4 (courtes) vidéos qui suivent complètent cet article, on y voit Mauro Biglino et un autre érudit, Paul Wallis.
Elles s’intitulent toutes : Une autre histoire de la Bible.
Et la grammaire, alors ?
J’y arrive. Dans le texte hébreu d’origine, le mot Elohim est un pluriel. Ce texte y associe fort logiquement des verbes au pluriel, des adjectifs au pluriel.
Mais … beaucoup ont traduit Elohim par Dieu, au sens d’un Dieu unique. Ce qui amenait nécessairement à des incohérences. Pas de problème, dans les traductions françaises, anglaises, allemandes et autres … on a remplacé ces pluriels par des singuliers. En expliquant qu’il s’agissait à l’origine de pluriels de respect, sans doute un peu comme le vouvoiement en français. Elohim signifie Puissant.
Encore : mais … Elyon signifie Le Très Haut, le Seigneur, en fait le dictateur de tous les dictateurs semble-t-il. Il désigne aussi, dans les traductions, le Dieu unique. Donc : les phrases où on parle d’Elyon sont toujours au singulier. Ooooh … s’il est plus puissant que les Puissants Elohim, on devrait en parler au pluriel aussi, non ? Peut-être même inventer un double pluriel ? 😀
Encore et encore : mais … Yahweh est bien connu comme Dieu unique (encore un) par ceux qui ont été au catéchisme. Pourtant, il y a beaucoup de passages bizarres dans la Bible ou « Dieu parle à Dieu, donne des ordres à Dieu, etc. » (Dans le texte : Elyon ordonne à Yahweh, ou Yahweh ordonne aux Elohim). Dieu souffre d’un TDI (Trouble Dissociatif de l’Identité), ou bien quoi ?
Non. Ces 3 noms désignent des personnes ou des groupes de personnes. En effet, on parle au singulier de Elyon le chef suprême, de Yahweh un chef pas suprême, et au pluriel de(s) Elohim, les Puissants, mais qui obéissent aux chefs. Et qui commandent aux humains, bien sûr.
Comme on dit : « Toute ressemblance avec des sociétés humaines existantes ou ayant existé serait purement fortuite », évidemment.
Pardon pour les remarques ironiques que je n’ai pas pu m’empêcher d’écrire 😉 . Mauro Biglino et Paul Wallis n’y sont pour rien. J’espère vous avoir donné envie d’écouter leurs vidéos. ils y parlent plus sérieusement, mais c’est vraiment passionnant.
Après toutes ces informations (et bien d’autres), on a une idée de plus en plus précise de la manière dont nous sommes conditionnés à être des esclaves soumis… ça fait des millénaires que ça dure !
Alors, nous avons une urgence : nous déprogrammer de plus en plus, pour pouvoir entendre davantage notre Divinité intérieure !
Et comme le dit Marianne Williamson dans « Notre peur la plus profonde » :
« Quand nous laissons briller notre lumière, nous permettons inconsciemment aux autres de faire de même.
Quand nous sommes libérés de notre propre peur, notre présence libère automatiquement les autres ».
Pour aller plus loin, dans cette déprogrammation qui contribue à libérer tous les Êtres 🌈🌞 :
Bien que l’EFT permette de résoudre seul(e) 80% des problèmes qui se présentent à nous, il en reste 20% : c’est les plus difficiles à repérer soi-même, parce qu’on est « noyé dedans ».
C’est pour ceux-là qu’une aide personnalisée est vraiment utile.
😊 Vous vous demandez peut-être :
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