Et si vous aimiez les lundis ? (1)

Le travail, ce n'est pas toujours drôle !

Être dans cet état-là (ou presque) tous les lundis, et même tous les jours quand on part au travail, c’est l’horreur, non ?  Même si tant de gens en rigolent … pour ne pas en pleurer.

.Il suffit de taper « lundi humour » sur Google images pour voir à quel point cette souffrance est répandue.

Cet « humour »  ne me fait pas rire du tout : il montre seulement que des milliers, des millions de gens sont réellement malheureux dans leur travail;  pire encore, ils y sont résignés, persuadés qu’ils « n’ont pas le choix »…

Des millions en France, et des milliards dans le monde. Dans tant de pays, la question du lundi ne se pose même pas : on y travaille tous les jours.

 

Et la Loi d’Attraction, alors ?

Si on est persuadé qu’on n’a pas le choix, on ne l’a pas… tant qu’on croit ça. Plus exactement, quand le conscient se dit « Je n’ai pas le choix », il ne cherche pas d’autre solution. Il est alors la proie des conditionnements qui font de lui une sorte de victime résignée, désespérée, commandée par les diktats de la société dans ce qu’elle a de pire.

Les conditionnements sont au pouvoir à la place de la Sagesse Intérieure, les nuages noirs éteignent la Lumière du Soleil. C’est normal ???  On s’est incarné pour ça ?

NON. On peut enlever ces nuages (avec l’EFT par exemple). On peut aussi être à l’affût de chaque rayon du Soleil en nous, l’utilisant pour nous aider à retrouver notre Vie, nos Rêves, notre Moi Profond, enfouis sous la boue de nos habitudes.

C’est ce que nous allons faire avec la méthode ci-dessous.

Cependant, si vous vous dites : « je ferai cet exercice plus tard », c’est possible qu’une partie de vous croit que de toute façon, ça ne servira à rien. Commencez alors par lire les articles : Les croyances : « Pour cela, il n’y a pas de solution »  et  Guérir nos « zones de désespoir » (protocole EFT + vidéo).

 

La méthode des deux listes, pour trouver un métier qui vous convienne vraiment

Une idée qui donne souvent des résultats spectaculaires. Vous faites :

Une liste avec les choses que vous adorez faire, ou que vous aimeriez faire plus souvent, qu’elles aient ou non un rapport avec un métier éventuel.  Par exemple : faire de l’alpinisme, des tartes aux pommes, du yoga, être en contact avec beaucoup de gens, et aussi : être libre de vos horaires, jouer avec vos enfants, passer du temps avec votre conjoint(e) ou vos amis.

Il ne s’agit pas nécessairement de domaines où vous êtes excellent; ce que vous adorez faire n’est pas toujours en rapport direct avec ce que vous savez faire. Ce que vous adorez (ou adoreriez)  faire, c’est que ce que dit votre Moi Profond, c’est les panneaux indicateurs de votre vie.

Une autre liste avec les problèmes des gens tels qu’ils vous viennent à l’esprit, pêle-mêle. Cela peut aller de pollution et la faim dans le monde, à des problèmes limités à votre entourage immédiat : ex. il est très difficile de se garer dans tel quartier.
.

Quelqu’un a fait fortune en développant cette dernière idée : il a cherché dans des forums quelles questions les gens posaient, et quelles questions n’obtenaient que peu de réponses. Il en a trouvé une incroyable, devinez laquelle… C’était :  « Comment apprendre à parler à son perroquet » (!).

Lui ne connaissait rien de rien dans ce domaine.

Mais il adorait mettre des gens en contact. Il a trouvé des spécialistes du langage des perroquets, leur  fait rencontrer  des propriétaires de perroquets, moyennant un certain pourcentage évidemment.

Puis il a dupliqué l’idée avec d’autres problématiques, et tout a très bien marché pour lui !

Pour en revenir aux deux listes, si  vous les continuez, elles vont se mélanger dans votre inconscient, et faire émerger des idées : « Parmi tous les problèmes réels qui existent, lesquels pourriez-vous résoudre d’une façon qui vous convienne vraiment ? ».

Tout ça vous amènera naturellement à un métier :

  • qui ait un sens,
  • et qui vous fasse vibrer.

Que du bonheur !

–       Oui, mais même ça, je n’ai pas le temps de le faire.

–       Si, vraiment, votre planning du moment est tellement serré que vous ne trouvez pas le temps de  faire cette méthode par écrit, faites-la mentalement dès que vous avez quelques minutes de libre (embouteillages, files d’attente). Puis notez vos idées dès que vous le pouvez.

Mais, peut-être que c’est une rationalisation. On « n’a jamais le temps » de faire ce qui  est douloureux pour nous, et c’est tout à fait normal.

 

Essayez sincèrement tout de même… un peu. Si ça coince trop : vous arrêtez tout, et vous passez à l’article suivant « Et si vous aimiez les lundis (2) ».

Ce qui n’empêche pas de bénéficier d’un accompagnement, dans un groupe, ou individuellement.  Lisez ce qui suit …

 

 

Pour avancer vers votre « Métier idéal » :

 

Un ebook avec beaucoup de protocoles EFT : 

« EFT Métier idéal » : c’est un livre électronique accompagné de nombreux audios  d’EFT , créés pour vous aider à effacer les croyances et blocages émotionnels qui vous éloignent d’un métier passionnant, et utile au monde.
En faisant ces tappings*, vous vous libérerez en douceur du terrible conditionnement à se « contenter » d’un « emploi » qu’on déteste (pourtant, dans « se contenter », il y a « content » !).
Et ce sera pour votre plus grand bien, et pour le plus grand bien de tous.

 

Et /ou : une aide personnalisée

 

 

4 réflexions sur “Et si vous aimiez les lundis ? (1)”

  1. Bonsoir Claude,

    J’aime tous les jours de la semaine depuis que j’ai pris la décision ferme et définitive d’arrêter mon activité en tant que salariée. Le temps de la retraite à sonnée ! (Je n’aime pas ce mot de retraite…) C’est la quille à la fin du 1er trimestre de l’an prochain.
    Tu n’imagine pas la joie qui m’habite… Enfin plus de temps libre pour ce qui me passionne.

    Du côté des lundis auparavant : pas vraiment de souci. J’ai toujours su changer de poste quand je sentais que j’en avais fait le tour. Je ne dis pas que c’est toujours facile de prendre des décisions mais au long terme que de satisfactions !

    Je connais bien la méthode des listes et c’est efficace, je peux en témoigner pour l’avoir pratiqué de nombreuses fois.

    Quand j’entends : « je n’ai pas le temps de… » j’étais auparavant intolérante mais à ce jour, je me dis que la personne n’est pas encore prête pour… Alors m’arrive parfois d’entamer la discussion pour tenter de semer une graine (sans forcer). Je me dis que tous ce que j’ai pu recueillir des autres à un moment ou à un autre de mon existence, m’a servi au moment ou j’en avais le plus besoin.

    Alors semons à discrétion, il en restera toujours quelque chose.

    Hélène

  2. Bonsoir Hélène

    Bravo pour cette décision. Tu auras enfin plus de temps pour mener à bien tes nombreux projets. 🙂

    En ce qui concerne le « je n’ai pas le temps » … tu as lu l’article suivant ? Je pense que quelqu’un qui dit ça est profondément imprégné de l’idée qu’il n’y a pas d’autre solution pour lui que de continuer à faire un métier qu’il déteste. C’est une croyance, encore une, encore un poison du cerveau émotionnel.

    ça me fait mal au coeur quand je pense au nombre de gens qui sont dans cette situation; et je trouve ça tellement absurde, tellement dramatique : on n’est pas venu sur terre pour faire des métiers absurdes et toxiques, tout cela pour un salaire misérable, qui vous donne tout juste la possibilité de recommencer le lendemain.

    Bon, je ne vais pas recommencer : j’ai déjà écrit cela un peu partout : dans l’article ci-dessus, dans « Ateliers EFT métier idéal », et encore tant de fois.

    Merci pour ton commentaire, à bientôt.

  3. Il est intéressant de constater (encore une fois !) comment notre perception peut être erronée* quelques fois.

    Croire qu’un travail doit nécessairement être pénible, ennuyant et difficile… est une erreur.

    Une transition intelligente vers un domaine que l’on aime vraiment permet de limiter le risque financier (source de stress) et de s’assurer de la justesse de son choix sans risquer de tout perdre. Je l’ai fait à des reprises. Ce n’est pas facile mais ça aurait été bien pire de ne rien faire!

    Le travail et une « prison de jour » pour certains…

    * Pour moi, une perception erronée est une croyance qui nous nuit, qui nous empêche d’être plus heureux.

    1. Coucou Marc, merci de ton commentaire.

      Une « prison de jour », waou ! C’est tout à fait ça, quel gâchis de talents et de joie de vivre.

      Je viens de finir un article : https://www.jaime-left.com/2016/01/16/largent-un-sujet-qui-fache/, en réponse à d’autres commentaires…

      Regarde en particulier le paragraphe : « Simpliste ou complexe ? Quelques exemples ». En le développant, ça pourrait tout à fait donner l’article invité que je devais t’écrire depuis un moment.

      Bonne soirée dans tes neiges québecquoises 😉 Moi je vais me coucher.
      A bientôt

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