Depuis quelques mois, le monde est divisé entre pro et anti-masques, maintenant, en plus, il l’est entre pro et anti piquouze.
Et si au-delà de ces discussions d’idées, on regardait plutôt l’HUMAIN ?
J’aime bien aller dans des manifs, parce que c’est une occasion de discuter avec des gens. Souvent des gens avec qui je suis d’accord, j’avoue, mais pas toujours : la preuve.
Je discute avec une dame : elle me raconte qu’elle a milité toute sa vie dans un syndicat ; elle le trouvait trop matérialiste, elle y a ajouté une organisation de chrétiens ouvriers.
Ouverture d’esprit, générosité, courage. Pourtant… je lui demande pourquoi elle porte le « truc bleu » sur le visage. Elle m’explique fièrement qu’elle a été v… , les 2 fois, mais que son médecin a dit qu’elle pouvait transmettre le virus quand même, parce que … je ne trouve pas son argumentaire très convaincant.
Je discute avec un autre, sans masque, tout aussi fier de la même chose, il me donne aussi un argumentaire, différent, mais tout aussi étrange à mes yeux.
Les deux fois, j’ai le sentiment que mon estomac fait un tour complet ; et la discussion me semble beaucoup moins agréable. Que faire ?
Je bredouille quand même qu’au cas où ils auraient, éventuellement, des effets secondaires, la suramine, et/ou la tisane d’aiguilles de pin, peuvent probablement aider . Ils m’ont donné l’impression de s’en fiche complètement… Bon, j’aurai essayé.
Avec la dame, ça continue, en pire : elle m’explique aussi qu’elle est contente des progrès de la technique : elle a eu un cancer, une opération où certaines parties de son corps sont en plastique, je ne sais quoi encore. Ça a été très compliqué (on s’en doute), entre autres pour s’organiser : la chimio, les opérations, etc.
« Maintenant, dit-elle, c’est tellement facile d’être suivie médicalement, de prendre un rendez-vous avec Doctolib, tout est facile avec un téléphone portable.
- Donc, ils savent tout de vous, et de nous. Vous n’avez pas peur que ça se retourne contre vous ?
- Non, je n’ai rien à me reprocher ».
J’en reviens à mon ressenti, pendant ces deux discussions :
- Tristesse, peur, et surtout impuissance : que faire ?
- solitude
- Peur de l’avenir : tous masqués ? tous vaxinés ? tous télécommandés, enfin : ceux qui survivront ?
Pas étonnant qu’on n’ait pas envie de ressentir cela.
- Alors, on le cache sous de la colère, des arguments à n’en plus finir que l’autre n’a aucune envie d’écouter,
- Ou on n’en parle pas, et on se ronge intérieurement à l’idée que les gens qu’on aime, ou même que les gens en général, aient joyeusement pris ce qui me semble être un poison.
- Et on se réfugie auprès de gens qui ont le même point de vue que nous, ce qui crée deux clans qui se regardent de travers, et qui ne veulent surtout pas dialoguer… parce que ça fait trop mal.
Ce qui n’aidera pas à créer un monde plus heureux.
Un protocole EFT pour voir l’être humain au-delà de nos divergences d’idées , et des peurs qu’elles soulèvent en nous…