C’est ma découverte de l’année : le pranisme c’est plus facile que le jeûne, vraiment. J’ai commencé un « stage de pranisme« , avec Ginette St-Pierre; c’était l’une des meilleures décisions de ma vie.
Dans cet article, je passe en revue les idées reçues les plus courantes (les miennes entre autres) sur ce mode d’alimentation. Puis plus bas, j’expliquerai en quoi c’est plus facile.
Puis, vous pourrez voir une courte vidéo différente de ce texte, mais sur le même sujet.
Première « grande idée » :
« Le pranisme, c’est pour les Saints »
Beaucoup sont persuadés que se nourrir essentiellement de prana, c’est l’apanage des Saints, des très grands Êtres spirituels, et encore pas tous.
Pourtant, j’ai lu depuis longtemps le livre de Michael Werner, Se nourrir de lumière / L’expérience d’un scientifique. Ce directeur d’un institut de recherche sur le cancer se considère comme un individu qui n’a rien d’exceptionnel : simplement ouvert à des connaissances nouvelles, entre autres celles qui concernent la spiritualité, mais sans plus. Et il affirme que cette expérience est accessible à tous.
Mais le cerveau émotionnel « a la tête dure » …
Comme toujours, les connaissances de notre cerveau émotionnel n’ont rien à voir avec celles notre cerveau rationnel. Le cerveau émotionnel a des certitudes : ce qu’il a appris à l’école maternelle et chez Papa-Maman quand il était petit. Et dès que quelque chose l’intrigue, c’est là qu’il se réfugie.
Donc :
– le pranisme, ça n’existe pas ! sinon, ça se saurait.
– Ah, mais si, quand même … Bon, c’est indéniable, ok. Mais alors, c’est réservé à des gens spéciaux, pas à moi quand même. Pas dans cette vie-là, en tout cas. Après 100 000 incarnations, peut-être…
Jusqu’au moment où, dans le réseautage dont je parle avec enthousiasme dans mes vidéos, j’ai rencontré Ginette St-Pierre. J’ai pris aussitôt rendez-vous avec elle.
Et je commençais à envisager que tout cela me soit accessible. Yesss !
Deuxième « grande idée » : ça va être duuur !
« Devenir pranique, c’est trèèèès difficile »
J’avais fait « glorieusement » quelques mois de jeûne intermittent, j’ai eu un peu de mal au début mais pas tant que ça, après c’était facile. J’ai arrêté parce que j’avais trop maigri, je me disais que j’avais manqué un élément, qui devait tourner autour de la respiration puisque « respirien, ça va avec : respirer ».
J’avais aussi fait un stage de jeûne d’une semaine, ça, c’était quand même plus dur.
Donc, dans ma tête, ce serait comme ça, mais en bien pire.
Heureusement, tout n’était pas perdu, j’avais l’EFT. Je m’attendais à enregistrer 3 tappings par jour, du même acabit que « Pranique, moi ? Au secours !« , à passer la moitié de mes journées au lit, épuisée, rêvant de repas pantagruéliques.
Eh bien non.
Troisième « grande idée » : il faut d’abord avoir l’expérience du jeûne
« Il faut avoir d’abord l’expérience du jeûne »
J’ai effectivement commencé par les quelques petites formes de jeûne dont j’ai parlé plus haut.
Tout d’abord, merci infiniment à ceux qui ont rendu cela possible 😍😍😍.
A la sophrologue Christine Varnière et au médecin qui coanimait avec elle mon stage de jeûne, et à Thierry Casasnovas pour ses nombreuses vidéos sur les formes de jeûne possible (hydrique, sec, intermittent dans différents modes à adapter au mieux à chacun). J’ai souvent remplacé un repas par l’écoute d’une de ses vidéos ! ça m’apaisait et me motivait.
L’importance du jeûne à travers l’histoire
Ceci dit, il y a eu de nombreuses formes de jeûne à travers l’histoire. Elles ont certainement habitué l’humanité à l’idée que sauter quelques repas n’était pas un drame, au contraire. Il fallait certainement passer par cela au niveau collectif, pour apaiser le cerveau reptilien qui confond toute sensation de manque avec la certitude d’une mort imminente.
Ces différentes formes de jeûne ont permis que l’idée de respirianisme devienne concevable.
Alors, où est l’intérêt du jeûne ?
Le jeûne et le pranisme ont des objectifs communs :
- une meilleure santé physique et psychique.
- Mais aussi :
- faire intégrer, par une expérience vécue, que beaucoup de ce que nous croyons indispensable ne l’est pas tant que ça. Au moins pas dans les proportions où nous le croyons. Cela donne envie de généraliser : dans tout ce que je croyais fondamental, de quoi je peux m’alléger et me sentir mieux ensuite ?
- faire intégrer de même que certaines choses sont beaucoup plus faciles que nous sommes conditionnés à croire. Et si cette intégration pouvait se généraliser : à l’Abondance, par exemple ? (d’où cette vidéo : EFT, prana et Abondance). Et aussi à la réalisation de nos Rêves : ceux qui sont suggérés par notre Sagesse Intérieure, pas par nos conditionnements.
Le jeûne peut avoir aussi un autre objectif : un travail sur l’ormèse, c’est-à-dire la résistance du corps et du psychisme à des stress intenses. Donc un développement de la volonté et de la persévérance. Quels que soient les objectifs, cette résistance est une réelle compétence. Cependant, après des années de société de consommation, nous en sommes très dépourvus. Et Gandhi disait (je ne sais plus dans quels termes) qu’il préférait enseigner la non-violence à un militaire : parce qu’il l’appliquerait après un choix réel, et pas par faiblesse.
Le pranisme actuel est-il dû aux changements d’énergie ?
Il semble que pendant des siècles, l’alimentation pranique ait effectivement été réservée à des gens vraiment exceptionnels, d’un niveau spirituel élevé.
Mais les énergies et la fréquence de Schuman changent de façon spectaculaire ces dernières années. Il est très probable que cela facilite l’accès à de nombreuses capacités humaines. La médiumnité s’éveille chez de plus en plus de personnes, le pranisme aussi, c’est logique.
Un article du Figaro nous informe, tout en tentant de démolir cette pratique « décriée et inquiétante« , que « 40.000 personnes dans le monde vivraient selon cette pratique, dont environ 400 en France ». Cet article date de 2017. Qu’en est-il en 2023 ? Logiquement, il y en a beaucoup plus.
Il me semble donc que maintenant, le jeûne ne soit plus un passage obligé. Le pranisme apporte les mêmes bienfaits, mais d’une façon tellement plus simple !
Le pranisme c’est plus facile que le jeûne. Pourquoi ?
On ne se prive pas de manger, on augmente son taux de prana.
Le taux de prana, c’est le pourcentage de prana qui suffit à nous nourrir. Nous en absorbons tous, en fait : le no-life enfermé devant ses jeux vidéos, nourri de pizzas surgelées, en absorbe aussi, mais moins que la moyenne des gens.
Pour la plupart des gens, ce taux se situe entre 10 et 30% ; pour un 100% pranique, il est évidemment de 100% ou pas loin.
Ginette dit qu’à la fin de sa formation, les participants atteignent en moyenne 50 à 60%, la plupart ont envie de continuer, donc leur taux a des chances de continuer à augmenter.
Entre temps, on mange, beaucoup plus légèrement que d’habitude, mais sans avoir une sensation de manque. Aujourd’hui, à midi, j’ai mangé 1/2 banane avec 1/2 petit beurre, puis la tasse de café dont je ne peux encore pas me passer, et c’est tout ! Et je me sens très bien : physiquement, et mentalement (je ne suis pas en plein délire, ce que j’écris est vraiment vrai !).
Donc on peut manger, mais le fait de se nourrir de plus en plus de prana fait qu’on a de moins en moins envie de nourriture matérielle. Sans se forcer !
Le pranisme ne coupe pas du tout de la vie sociale
On peut passer sans aucune difficulté d’une alimentation complètement pranique à un repas « complet » ! Et de recommencer le lendemain à ne vivre que « d’Amour et d’eau fraîche ».
Il est possible aussi de passer d’une alimentation « en cours de pranisme » comme la mienne, à un repas au restaurant ! Je l’ai fait il y a 3 jours. J’ai mangé tout à fait « normalement » et apprécié la nourriture comme jamais. Et, gros progrès : contrairement à mes habitudes anciennes, je ne me suis pas sentie tenue de finir mon assiette (pourtant, nous sommes tellement programmés à cela).
Le lendemain, tout allait bien. J’avais un peu peur que cet « énorme » repas fasse tout retomber : en fait non, pas du tout.
Contrairement au pranisme, les jeûnes sont beaucoup plus compliqués. Avant de commencer un jeûne, il est impératif de faire une descente alimentaire de 2-3 jours, où on mange de moins en moins, puis une remontée progressive en sens inverse.
Impératif, sous peine de graves problèmes de santé.
Pendant un jeûne, le corps physique puise dans ses réserves : il se débarrasse de restes d’aliments non totalement digérés, de cellules toxiques ou inutiles (certaines graisses, et aussi pas mal de virus et bactéries non souhaitées). D’où une réelle amélioration de l’état de santé, si le jeûne est bien mené (par les encadrants, mais aussi par la personne elle-même bien sûr : le psychisme est essentiel à ce niveau, comme dans tout le reste.).
Mais le corps ne va pas apprécier qu’on l’interrompe brutalement dans son travail de déstockage.
En résumé, on ne peut pas fêter la fin d’un stage de jeûne par un bon gueleton, mais à la fin d’un stage de pranisme, on peut ! Yesss ! 🍾🥂😀😉
Mais … où trouve-t-on le prana ?
Le prana, il y en a PARTOUT. C’est l’énergie universelle, le champ quantique. En fait, nous sommes autant environnés de prana qu’un poisson est environné d’eau. (il y a du prana dans l’eau aussi, ce n’était qu’une comparaison.)
– Mais comment capte-t-on le prana ?
– oh la la, ça, c’est très long et très difficile……….. 😣😓😕 ……. 🙄 …..Mais non, c’est une blague ! 😜 😂
La première chose est de savoir que c’est possible. On connaît le pouvoir de l’intention…
Plus des parties de nous en doutent (parce qu’on est programmé à ça), plus on bloque le processus, qui ne demande qu’à se faire tout seul. Des milliers de blocages, croyances en tout genre nous en éloignent. Je savais depuis longtemps que le respirianisme existait, l’idée m’intéressait, mais j’ai mis 30 ans avant de sauter le pas !
Après, il suffit de quelques petites activités simples, qu’il n’est même pas indispensable de pratiquer tous les jours :
- cohérence cardiaque (j’en fais en marchant, et sur les 5 temps d’inspir et les 5 temps d’expir, je me répète : « j’absorbe le prana / et tout va très bien »),
- sungazing. Regarder le soleil à son lever et à son coucher du soleil ? Utile, mais pas indispensable. On peut regarder le soleil presque n’importe quand : à travers les nuages, les feuilles des arbres, en le regardant dans une mare ou dans une flaque d’eau. L’idée, c’est juste d’absorber les rayons, évidemment sans forcer et s’abîmer la vue.
- quelques courtes méditations : j’aime bien le « dialogue avec mes cellules », de Pierre Lessart. Il a contribué à aider Guy Corneau à guérir d’un cancer. Il peut s’appliquer à n’importe quel problème physique, ou simplement à l’absorption du prana.
Quoi d’autre ?
En gros, rien de plus que ce que font très souvent les gens ayant une quête spirituelle. Dont vous faites certainement partie puisque vous lisez ce blog.
Vous y ajoutez l’imprégnation de l’idée que c’est possible, et : le fait de « manger liquide » (non, je n’ai pas dit une monodiète de bière 🍺) ; vous pouvez avaler :
- de l’eau, des tisanes,
- des jus de fruits ou légumes, des smoothies,
- des potages légers,
- ou même quelques aliments mâchés jusqu’à ce qu’ils soient liquides : dans ces conditions, vous n’en mangerez pas beaucoup.
Et c’est gagné ! Cependant, j’avoue que l’accompagnement que je suis sur 21 jours m’est vraiment très très utile ! Pour accomplir un tel changement de vie, ce n’est pas du luxe d’être soutenue et encouragée.
La vidéo « Le pranisme c’est plus facile que le jeûne »
Résumé de la vidéo :
Il y a un mois, j’aurais répondu sans hésiter que le jeûne, ce n’était déjà pas commode, mais le pranisme (ou respirianisme) : oh la la ! C’était le niveau « grands initiés ».
Pourtant, je m’étais inscrite à la formation de Ginette St-Pierre, qu’elle vous présente dans cette interview : Se nourrir de Lumière (+ EFT).
J’étais très motivée, mais, malgré tout, des parties de moi n’étaient pas du tout à l’aise avec cette idée 😱😱😱 .
D’où cette vidéo, où je me fais de l’EFT pour tenter de me rassurer : « EFT : Pranique, moi ? Au secours ! (J – 21) »
Dans la vidéo ci-dessous, je vous raconte :
- Pendant les 2 semaines qui ont suivi ma vidéo « SOS » 😱 , je n’ai jamais été tant au restau, chaque repas me paraissait « le dernier repas du condamné ! » 😥😵
- La semaine qui précédait : il était prévu de manger moins, 2 repas par jour au lieu de 3 (c’est ce que je fais de toute façon), la veille : un seul repas (pas très difficile), j’avais déjà fait du jeûne intermittent. La perspective du « grand jour » (le 1e mai) rendait les choses plus faciles que les semaines précédentes, je ne sais pas vraiment pourquoi.🤔🤨
Et le grand jour, puis les suivants, je découvre que finalement, c’était infiniment plus facile que je ne le pensais ! 😀
Toujours dans cette vidéo, je comparerai le pranisme et le jeûne, en expliquant pourquoi le premier est infiniment plus facile et agréable que le second.
Je m’attendais à une foule d’exercices, des heures de méditation par jour pour absorber le prana, eh bien non : c’est bien plus simple ! 😀