Exprimer complètement sa colère sans faire de dégâts, c’est possible ? vraiment ?
Absolument, on en parle plus bas. Mais d’abord, il est important de se mettre en face des problèmes que posent la colère et la haine.
On connaît les dégâts qu’elles font :
- extérieurement : dans notre entourage et dans la société (guerres, révolutions violentes, et actuellement pour certains : tentation du satanisme)
- et intérieurement, quand on les réprime (souffrance qui tourne en rond, maladies, explosions de colère imprévisible… )
La colère et la haine, ce n’est pas nouveau, malheureusement. Ce qui est nouveau (depuis quelques dizaines d’années), c’est la multitude d’outils qui permettent de les « dissoudre », sans pour autant les « mettre sous le tapis ». L’EFT en particulier, bien sûr.
Quand des parties de vous sont en colère, elles le sont ! Il ne sert à rien de les bâillonner. C’est même complètement impossible à moyen terme : on ne peut pas comprimer un ressort indéfiniment.
D’où l’intérêt de ces protocoles EFT.
Dans ce cadre, on peut exprimer sa colère en toute liberté, dire des mots méchants, contradictoires, absurdes : parce qu’ils correspondent à de nombreuses parties de nous blessées.
Une fois qu’elles auront enfin pu s’exprimer, vous verrez : elles n’auront plus envie de le faire, et vont, d’elles-mêmes, s’ouvrir à des solutions plus constructives.
Des tappings pour quand on est sur le point d’exploser
Première urgence (à refaire autant de fois que c’est nécessaire) :
Un article qui peut aussi aider, et que je complète chaque fois que j’ai de nouvelles informations et idées : « Secourisme émotionnel« .
Après avoir évacué le plus gros de la colère, on peut continuer à s’en libérer, mais aussi aller plus loin :
Pour ne pas tourner en rond dans la colère, s’ouvrir à l’infini des possibles :
Replacer nos ressentis actuels dans les mémoires millénaires de violence et de conditionnement à la violence
et donc : déprogrammer de plus en plus nos réflexes de haine
Un seul « ennemi » : les conditionnements qui nous empêchent de voir notre Lumière… et encore, ce n’est pas un ennemi
Deux alternatives seulement : la soumission ou la violence ? Mais non …