Se nourrir de prana : mon journal pranique

En mai 2023, j’ai participé à une formation où on apprend à se nourrir de prana.  Une formation animée par Ginette Saint Pierre, respirienne depuis 4 ans, et en pleine forme ! Je l’interviewe dans cette vidéo.

Mais d’abord, quelques réponses à des questions que se posent beaucoup, à commencer par « Le pranisme, qu’est-ce que c’est ? ».

 

Questions de base sur le pranisme

Le pranisme, qu’est-ce que c’est ?
Le pranisme consiste à se nourrir de prana. Ce qui amène à la question suivante : qu’est-ce que le prana ?

 

Qu’est-ce que le prana ?
« Prana » est un mot sanscrit qui signifie littéralement « force vitale ». C’est la force dont nous avons besoin pour les activités de la vie comme parler, bouger, penser, digérer, respirer, etc. On le trouve partout : dans l’air que nous respirons, dans la lumière que nous voyons, dans l’eau que nous buvons et dans les aliments que nous mangeons.

 

Quels sont les synonymes de pranisme, de pranique ? 

Les mots respirien et pranique sont exactement synonymes .
Le pranisme ou respirianisme ou inédie (ce dernier mot est plus rarement employé) consiste à se nourrir de prana, on peut dire aussi « se nourrir de Lumière ».

 

Est-ce que le pranisme est dangereux ?  Absolument pas, sauf dans certains cas précis. Voir l’article : « Se nourrir de prana c’est dangereux ? »

Est-ce que c’est très difficile de se nourrir de prana ?  Oh que non, j’en suis encore la première étonnée. Voir l’article : « Le pranisme c’est plus facile que le jeûne ! »

 

Avant le stage

Dans le réseautage dont je vous parle souvent avec beaucoup d’enthousiasme, j’ai rencontré Ginette St-Pierre.  Je me revois  annoncer ça à mon mari, comme une gamine qui a trouvé je ne sais pas quoi, la Caverne d’Ali Baba peut-être :

– Chériiii ! » j’ai rencontré une vraie de vraie pranique ! Et j’ai pris un rendez-vous avec elle !
Il me regarde en mode « Qu’est-ce tu as encore trouvé de bizarre ? », et soupire : « Ah, bon… Essaie de ne pas mourir de faim, quand même.  »

En tout cas, moi, je commençais à envisager que le pranisme me soit accessible. Yesss !

 

J-21 : qu’allais-je faire dans cette galère ?

Avant même de commencer, ça semblait mal parti : une partie de moi était enthousiaste pour ce projet, bien sûr, mais l’autre était en panique totale !

 

 

Mes débuts n’étaient pas éblouissants, j’avoue.
Mais l’EFT est un outil magique pour évacuer nos peurs les plus absurdes, et pourtant bien réelles. On a beau savoir (intellectuellement) que quelque chose est bénéfique pour nous, si l’inconscient n’est pas d’accord, il est in-dis-pen-sable de le rassurer !
L’EFT sert à faire cela.

 

De J – 21  à  J – 7

J’avais vraiment décidé de faire ce stage. Il remontait maintenant d’autres sortes de peurs, tout de même plus gérables.

Mon mari et moi avons été au restaurant comme jamais dans notre vie, je lui proposais très souvent d’y aller : à chaque repas, j’avais le sentiment d’en être au « dernier repas du condamné ». LOL !
Il y a sûrement des mémoires transgénérationnelles, dans tout cela. Aucune idée desquelles, mais peu importe : on peut les apaiser par l’EFT, bien sûr; mais aussi par des expériences rassurantes … je n’allais pas manquer d’en faire.

 

De J-7 au jour « J »

Quand je me suis enfin inscrite officiellement, Ginette m’a envoyé une préparation à faire, toute simple :

  • quelques exercices
  • un programme court de réduction alimentaire : alimentation végétarienne de préférence, quelques jours avant : 2 repas par jour seulement, la veille : 1 seul repas.  Ce n’était pas indispensable, comme dans le jeûne, sous peine de graves problèmes de santé. C’était juste pour rendre l’expérience plus simple et plus confortable. Waou ! J’aime les choses simples et confortables …  😉 😛 . En tout cas, pas inutilement compliquées.

L’intérêt de manger moins, c’est qu’il est beaucoup plus facile de manger en conscience, de savourer ce qu’on mange. C’est ce que j’ai fait particulièrement cette semaine.

 

 

Le stage : les 21 jours

L’accompagnement de Ginette consiste à un entretien d’une demi-heure en moyenne tous les soirs de la semaine, où on fait le point sur les progrès, et sur d’éventuelles difficultés. Habituellement, il se fait en petit groupe.
Bizarrement, cette fois j’étais seule : j’ai eu droit à des cours particuliers, sympa 😊 !
Je me suis fait un « journal pranique » plus terre-à-terre que celui-ci : ce que j’ai mangé, bu, s’il s’est passé quelque chose de spécial. Finalement, c’était à peu près toujours pareil.

Je m’attendais à des difficultés terribles, à devoir faire des dizaines de protocoles EFT pour tenir le coup, à écrire un immense journal pranique plein d’histoires compliquées…
En fait, pas du tout.

 

Se nourrir de prana (entre autres)

J’expose plus en détail tous les points que j’aborde ci-dessous dans l’article « le pranisme c’est plus facile que le jeûne« . Je ne parlerai ici que de mon expérience personnelle :

    • Mon taux de pranisme : chaque semaine, Ginette le mesurait avec un pendule: il est passé de 19 % à J – 7, à 25% le jour J, et jusqu’à 67% à la fin du stage; selon elle, c’est très encourageant.
      Tout cela sans faire beaucoup de travail spécifique : quelques marches en forêt, sur la plage ou même à Paris (à peine plus que d’habitude, 1 ou 2 fois par semaine), des méditations de quelques minutes même pas tous les jours. Et bien sûr, l’EFT pour mes clients, mes proches, pour moi. Mais ces tappings n’ont jamais concerné directement le pranisme.Ma « prof de pranisme » considère que le plus important est d’être imprégnée de l’idée que ça existe, à partir de là les portes sont ouvertes, et ça se fait tout seul. C’est bien ce qui s’est passé, apparemment.En quoi je me suis renforcée dans cette idée ? (cela s’est certainement fait, puisque mon taux de prana a tant augmenté)  Sans doute à travers le fait d’y penser beaucoup, de communiquer souvent sur ce sujet : à mon entourage, à mes clients, et à travers ces articles et ces vidéos sur ce sujet.

 

  • à part le prana :
      • au quotidien, la plupart du temps : 2 petites tasses de café (ça, c’est encore ma drogue 🙁 , mais ce n’est pas très grave), de l’eau, quelques tisanes et jus de fruits, et un comprimé de vitamine C ; la plupart du temps un fruit (banane écrasée ou autre ou passée au blender), et un potage léger, mixé, le soir. OK, ce n’est pas un menu gastronomique, mais c’est sain et on gagne tellement de temps !
      • ET … un détail très important, parce qu’il est essentiel de garder une vie sociale ! J’ai fait 8 « vrais repas » (sur 3 semaines, donc.  Au lieu de 63, pour ceux qui mangent 3 fois par jour).
        Sans aucun problème de descente alimentaire ni de remontée progressive. Vraiment, ça, c’est génial.

     

    Autres changements physiques et psychologiques :

          • mon poids :
            C’était l’inquiétude n°1 de mes proches : « Tu vas devenir squelettiiiiique ! » 😱😱😱
            En fait, non. 😂😂😂Selon la balance, j’ai perdu deux kilos ; au niveau de mes vêtements, la différence n’est pas énorme :  je rentre un peu plus facilement dans un ancien jean, sans plus.
              • le sommeil :
                Je n’en suis pas encore à la diminution spectaculaire dont je parlais ici  😂 :

                Se nourrir de Lumière
                Loin de là même, puisque mon temps de sommeil n’a pas changé de façon évidente, et qu’en plus je fais même une demi-heure de sieste l’après-midi la plupart du temps. Je suppose que mon corps s’ajuste, et que ces changements viendront avec le temps.
                Pour les respiriens dont j’ai lu les livres, et pour Ginette, le temps de sommeil a diminué avec le temps, souvent de moitié.

              • l’énergie, la santé : ni mieux ni pire, ça allait au départ, et ça va.
                Comme pour le temps de sommeil, je suppose que le corps et le psychisme se nettoient de plus en plus au fur et à mesure que le processus continue. Le « pire » (LOL, c’est tout relatif !), c’était une vraie baisse de forme l’après-midi du 2e jour : fatigue, tête qui tourne, au point que je suis restée allongée 2 ou 3 heures. Quel drame ! 😉
                Le soir, Ginette m’a conseillé de boire du jus d’orange et un fruit, pour éviter que ça ne se reproduise. Le comprimé de vitamine C, c’est depuis ce jour-là. Pour le moment, ça me rassure, mais ça n’est pas indispensable.

             

            Et maintenant ?

            Maintenant, suite de l’aventure, qui n’en est même plus une.

            A priori, je vais continuer de la même manière : alimentation physique sans doute de plus en plus légère, et bons repas de temps en temps, sans me priver. D’autant plus le fait de moins manger aide à apprécier davantage la nourriture : on prend vraiment le temps de savourer.

            Et pour le reste (santé, temps de sommeil, etc.), on verra bien : je complèterai cet article dans quelques mois, ou s’il se passe quelque chose de vraiment spécial.

             

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