Le déni : une attitude bien compréhensible

  A l’heure actuelle, les révélations pleuvent. Elles concernent tant d’aspects sombres de nos sociétés que cela risque d’être très difficile à intégrer pour les gens qui étaient jusque là dans le déni. 

Le mot « Apocalypse » signifie justement « Révélation« . Nous prenons conscience en ce moment des pires aspects de l’humanité.
Cependant,  il est Essentiel d’utiliser cette connaissance pour Révéler la seule chose vraiment importante : le fait que nous sommes Bien Plus que nous ne croyons être. Donc que nous avons un potentiel infini, que nous sommes tous des fractales de l’Univers, que Tout est UN. 

Des millénaires de prises de pouvoir sur la population ont provoqué une vision terriblement diminuée de nous-mêmes, un oubli de l’Essentiel. Nous avons oublié que nous avons une Sagesse intérieure, ou au moins nous ne savons plus bien comment nous Connecter avec Elle. Elle est comme une colonne de Lumière, engluée dans des conditionnements absurdes. 

C’est cette perte de notre Axe qui fait que tant de gens n’ont pas d’autres repères que leurs programmations inconscientes. Et en ce moment, où elles s’effritent de plus en plus, ils n’ont pas d’autres solutions que le déni. 

 

Quand on ne sait plus que nous avons tous une Sagesse Intérieure, on ne peut s’appuyer sur rien de solide

J’avais écrit en novembre 2020 un article intitulé « Le déni : une solution inefficace, mais si fréquente« .

J’avais compris dès le premier confinement que cette histoire de virus « terriiiible » était très louche. Il suffisait de comparer les chiffres officiels des morts de la c… vide avec les chiffres officiels  des autres maladies (cancers, diabète, etc.) pour voir qu « ils » avaient une idée derrière la tête. On a vite compris laquelle.

J’étais exaspérée de la crédulité des masqués fiers de l’être. J’avais beau tenter de ne pas les juger, de rester Zen et dans l’Amour vis-à-vis d’eux, je n’y arrivais pas. Ce n’est pas faute d’avoir essayé, pourtant : j’y ai consacré de nombreuses vidéos de ma playlist « Situation actuelle, croissance intérieure, et Eveil de l’humanité ».

Pendant ces trois ans, je me suis un peu adoucie : d’où ce nouvel article. « Le déni : une solution bien compréhensible »

 

Le déni, le refoulement, sont réellement protecteurs (s’ils ne durent pas trop)

Vous avez plus ou moins entendu parler de pédosatanisme, de programmations MK-ultra et autres sympathiques divertissements de l’ «  »Elite » » (double dose de guillemets, en ce qui les concerne).
Ne pas vouloir savoir permet de préserver une sérénité illusoire : ne pas agiter en soi des peurs qu’on ne sait pas gérer, c’est réellement protecteur (au moins à court terme).

Ne pas juger (autant que possible)

  • J’ai été souvent agacée par des gens qui sont dans le déni, qui trouvent que Karl Zéro et autres lanceurs d’alerte « exagèrent » ou même sont « obsessionnels ». Souvent, ils finissaient par soupirer « J’veux pas savoir, parlons d’autre chose ».
  • La première fois que j’ai écouté une longue vidéo sur ce sujet (en 2020, Les DéQodeurs), j’ai pleuré pendant 2 heures d’affilée. Alors que je n’ai rien vécu personnellement d’horrible en rapport avec ces sujets, au moins dans cette incarnation.
  • Mais imaginez ceux qui ont subi des attouchements étant petits (1 sur 5, d’après Karl Zéro). Ils s’en souviennent, consciemment ou non (on peut refouler ce souvenir pendant des années).
    Imaginez aussi ceux qui connaissaient personnellement un enfant qui a disparu et qu’on a jamais retrouvé. Vous pensez qu’ils vont facilement aborder ce sujet ? Cela retournerait bien trop de blessures. Tant qu’on n’est pas très très solidement arrimé à notre Sagesse Intérieure, c’est beaucoup trop déséquilibrant, c’est inenvisageable.
  • Imaginez aussi tous les drames personnels où les personnes les plus concernées sont les  dernières au courant : tromperie dans un couple, parents dont l’ado se drogue, qui fait les 400 coups dehors alors qu’il semble plutôt correct à la maison. 
    Quand on se protège de telles prises de conscience par le déni, on est encore moins prêt à voir les mensonges des institutions. Ils ne feraient que retourner encore plus le fer dans la plaie. 

 

Le déni donne le temps de se restructurer

On sait que le déni est la première étape d’un deuil. Il laisse le temps à l’inconscient de faire tout un travail de restructuration. Les différentes parts de soi s’expriment sous le couvercle du déni, donc en quelque sorte, « sous anesthésie ». Elles disent au conscient « Il ne s’est rien passé », mais elles débattent en cachette.

  • des parts de nous en veulent à la vie, à nous-mêmes (si nous étions différents, ça ne se serait pas produit), à la « victime » parce que l’amour que nous avons pour elle nous fait maintenant souffrir, aux « coupables » (nous sommes conditionnés à croire qu’il y en a un).
  • alors, elles sont en guerre interne pour savoir qui est coupable : nous ? telle personne, ou tel groupe, dont on ne peut pas imaginer qu’il soit aussi méchant ? Et aussi pour déterminer quelles vont être nos actions futures, parce qu’il faut bien passer à la suite.
    Des parts de nous vont déterminer cette suite : ce sont nos perceptions.

– L’acceptation : généralement, c’est à cette étape qu’on fait le point sur les bons et les mauvais moments, qu’on peut se projeter vers l’avenir et qu’on se sent mieux psychiquement.
– La reconstruction : cette projection vers l’avenir se concrétise, et on tire une expérience de ce qu’on a vécu.

 

La dissonance cognitive citoyenne

Sous la vidéo d’Idriss Aberkane : « Comment des honnêtes gens ont pu défendre Pfizer », j’en fais un résumé rapide.

 
  • Tout changement de perspective est difficile ;  Selon Alan Kay : un changement de perspective, ça vaut 60 points de QI.
  • Idriss prend l’exemple  de Jérôme Béglé (directeur JDD), qu’il connaît un peu personnellement, pour rappeler qu’un journaliste fonctionne souvent comme n’importe quel citoyen : si quelque chose paraît trop improbable parce que trop horrible, il ne va pas le prendre au sérieux, et n’en parlera donc pas. 
  • « un bon citoyen, c’est quelqu’un qui a un minimum de confiance en l’Etat; et tout part de là ».
  • Contradiction entre un journaliste et un citoyen : impossible de penser que l’Etat ait pu faire tant d’horreurs. Ils peuvent enquêter sur quelques malversations, mais pas quand c’est énorme.

Le vrai peut quelquefois n’être pas vraisemblable

  • Ce qui est énorme n’est pas « plausible ». Il est nécessaire de faire une confiance « plausible » à l’Etat : on est obligé de faire confiance quand on conduit une voiture, quand on passe sur un pont, quand on prend un avion, etc.
  • Il est difficile, autant pour un journaliste que pour un citoyen quelconque, de sortir de cette zone de confiance. Le cerveau ne peut pas supporter une dose de mensonge d’Etat trop élevée. C’est comme le point aveugle de la rétine : tout ce qui entre dans son champ est invisible.
  • Dès que l’Etat a compris où se trouve notre limite cognitive pour l’abomination, il la franchit tranquillement : convaincu qu’on n’ira jamais chercher là-bas. Les crimes commis en dehors de cette zone de confort reste impunis, et même non investigués.
  • Les gens se disent « Pfizer n’a pas pu mentir à ce point » ; normal, ils ne connaissent pas le « pedigree » de Pfizer (des millions d’euros d’amende pour mensonges, « charlatanisme », etc. Et, il faut être logique, ce n’est que la face visible de l’iceberg). Idem pour l’Etat, pour l’Ecole Polytechnique. Des administrations qu’on a été conditionnés à admirer depuis l’enfance, ont des « pedigrees » impressionnants.
  • Nous avons des « points aveugles » à notre sensibilité politique. L’inavouable fait partie de ces points aveugles. Des citoyens vont donc défendre l’Etat. Soit tu sors de ta zone de plausibilité citoyenne, et tu t’aperçois que Schwab et B Gates veulent tuer 90% d l’humanité, soit tu restes dans le déni.
  • il y a besoin des « bons citoyens » si l’Etat est sain, ils font tourner le système.
  • Si on a étudié l’histoire, on connaît beaucoup d’événements horribles, et on peut se baser sur cette connaissance pour ne plus s’étonner des horreurs qui se produisent actuellement. 

 

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