Le corps est le tableau de bord du psychisme, il donne des indications d’une précision inouïe … quand on réussit d’abord à faire un bon décodage de la douleur, puis à en déduire les actions nécessaires.
Donc, quand j’ai un problème de santé, je réfléchis à tout cela jusqu’à qu’il guérisse ; cela m’aide à guérir beaucoup plus rapidement que « normalement », et ce, sans médicaments. Souvent, cela donne quelques articles dans ce blog : sur les rhumes, la fibromyalgie, le mal au dos, le mal aux jambes, les allergies… Ici, il sera question du dernier « gros bobo » en date : un énorme mal de dents.
Je vous partage ici ce que j’ai appris ces derniers jours, à travers ces (rudes) messages de l’Univers :
- ce que j’ai appris au niveau décodage biologique
- j’ai décidé d’utiliser une nouvelle façon de comprendre le sens d’un symptôme, en le replaçant dans son contexte de façon plus systématique (j’en parle dans cet article)
- j’ai expérimenté de nouveaux outils magnifiques
- et j’ai eu quelques bonnes surprises : on peut communiquer avec certains médecins officiels (pas encore tous, malheureusement). Et c’est intéressant.
Pas « douleur », mais « indicateur » (ou : « information »)
Avant même de parler de décodage de la douleur, je propose de remplacer le mot « douleur » par le mot « indicateur ».
Parce que :
- comme je l’ai dit plus haut, le corps est le tableau de bord de notre Être profond, de notre inconscient aussi. Donc tout ce qui s’y passe est une indication, un indice qui nous aidera à être plus Centré, plus Connecté à notre Sagesse Intérieure. Donc plus heureux !
- Les mots, les pensées, les émotions sont reliés à des égrégores. Et l’égrégore du mot « indicateur » est bien plus motivant que celui du mot que je ne veux plus employer.
Le mot « douleur » est associé à un égrégore terrible. L’image qu’il m’évoque en ce moment : des gens qui se tordent de souffrance, en se demandant « pourquoi moi ? »; ils ont un profond sentiment d’injustice, parce que cette torture ne fait aucun sens pour eux.
Dès qu’on se connecte à un égrégore (simplement en pensant / entendant / prononçant certains mots), on le nourrit et on se nourrit de son énergie. Je n’ai donc aucune envie de me relier à celui-là !
« Indicateur », par contre, est beaucoup plus constructif. Immédiatement, l’inconscient se demande : « indicateur de quoi ? », et le Sherlock Holmes intérieur se réveille en nous.
Il m’est même arrivé de trouver intéressant ce genre de sensation (pas toujours, j’avoue ! 😉 ). En faisant par exemple du TIPI, on éveille les parties de nous qui observent avec intérêt, alors que celles qui geignent retournent se coucher (ça fait du bien !).
L’égrégore « indicateur / indication / indice / information » se nourrit des pensées de tous ceux qui ont envie de chercher plus loin que leurs habitudes mentales, et il les nourrit en retour. Ceux qui ont envie de chercher, de comprendre, d’améliorer les choses pour eux et pour le monde : j’aime bien !
Mon expérience récente
J’ai commencé cet article alors que je me remettais tout juste d’un gros « indicateur » pas facile à vivre.
Quelques jours plus tôt, j’avais plus ou moins mal aux dents et aux gencives, surtout du côté gauche. Arrive un mini cor au pied, du côté gauche aussi. Je n’en avais jamais eu : aucune envie que ça ne commence. Je fais donc les rapprochements suivants :
- mal aux dents pas clairement localisé, à gauche.
- le mini cor au pied (il est reparti aussi vite qu’il est venu, d’ailleurs, sans doute parce que son message commençait à s’éclaircir).
- Et, tant que j’y pensais, un petit problème chronique au genou gauche.
Les dents, les pieds, les genoux : des histoires de structure, de directions à prendre et à garder, de transmutation profonde puisque ça touche aux fondations de l’être… Il faut faire quelque chose, c’est clair.
D’autant plus que le mal aux dents occasionnel se transforme en ce qui est peut-être une grosse névralgie faciale, sans doute un problème de nerf trijumeau.
Deux jours et une nuit à douiller beaucoup beaucoup beaucoup … ça motive pour se poser les bonnes questions.
Quand je commence à avoir des pistes, la douleur s’apaise (quelques décodages de la symbolique de la névralgie faciale : ici, et dans les articles qui suivent).
Reste une grosse fatigue, qui ne m’empêche pas d’écrire cet article, tranquillement dans mon lit. Et une douleur qui se balade encore pendant plusieurs jours entre 5 et 1 sur 10.
Puis fini n-i ni ! Surtout si je reste vigilante aux messages que m’a délivré l’Univers, avec une « certaine insistance ».
Important : Même si de très nombreux témoignages montrent des résultats spectaculaires suite à l’utilisation du décodage biologique et de l’EFT, il n’y a aucune garantie que chaque personne obtiendra le même type de résultats.
D’autre part, ces techniques ne prétendent en rien remplacer un traitement médical, mais elles peuvent en être un complément appréciable.
Décoder UN symptôme
Beaucoup connaissent les dictionnaires de décodage biologique : celui de Jacques Martel, celui de Michel Odoul, celui de Martin Brofman, et certainement encore d’autres.
A force de les consulter, je m’étais habituée à la démarche suivante, pour mes clients et pour moi-même :
- lister/repérer ce qui vient à l’esprit à propos du symptôme qui pose problème dans l’immédiat.
- puis, voir si ces dictionnaires apportent des idées supplémentaires ; le critère est que la personne ressente cette idée comme juste. On peut aussi chercher aussi sur Internet : « symbolique de … » (le symptôme en question). Il y a peu de temps, on trouvait quelques rares informations sur ces sujets, maintenant il y en a de plus en plus.
C’était très utile, mais il y a encore mieux : on en parle ci-dessous.
Décoder PLUSIEURS symptômes à la fois
Décoder plusieurs symptômes, c’est ce que j’ai fait. Je le raconte plus haut, dans le paragraphe « Mon expérience récente ».
Faites une courte liste plusieurs de vos symptômes physiques, de vos « indicateurs », grands et petits. Ceux qui vous viennent à l’esprit en premier.
Et voyez ce qu’il y a de commun entre eux, au niveau symbolique.
Quand je dis : « petit indicateur », ça peut aller jusqu’à « souvent un bouton à tel ou tel endroit », « une légère raideur de telle articulation », « souvent un petit coup de pompe après les repas »… ou mon « mini cor au pied ».
Il est important d’y ajouter, quand c’est possible : dans quelles circonstances se produit le symptôme.
Un exemple impressionnant : le guérisseur et les verrues
Un de mes clients était guérisseur, uniquement pour les verrues. Comme beaucoup de guérisseurs traditionnels, il avait été initié par son grand-père sur son lit de mort. Et il ne sortait pas de sa spécialité : des verrues, toujours des verrues. Rien d’autre.
Il était un excellent guérisseur … pour les verrues des autres. Mais ces petites farceuses se réfugiaient sur ses propres mains ! Une guérison, une verrue. Au point qu’il a dû arrêter, c’était invivable.
En travaillant sur cette étrange particularité, nous avons trouvé une forte soumission inconsciente au grand-père : il « devait » lui obéir en acceptant ce « don », sans faire tout à fait aussi bien que lui.
Dans ce cas, les circonstances du symptôme étaient bien une première piste à suivre : quand lui poussait-il des verrues ?
La deuxième piste, la symbolique de la verrue elle-même, renforçait spectaculairement le sens de la première. Parmi les listes de significations possibles, on pouvait retenir : une façon de se mettre des barrières, de se dévaloriser par rapport à d’autres.
Et … les verrues sur les mains sont liées à la relation au père (ou au grand-père !) et à la capacité d’agir.
On peut encore généraliser
La démarche ci-dessus m’a donné une idée : on peut faire le même genre de liste en ce qui concerne:
- des problèmes financiers (exemple : les dettes sont généralement liées à de la culpabilité, à l’idée d’être redevable à quelqu’un… qui est peut-être mort depuis longtemps, d’ailleurs),
- ou relationnels,
- ou par rapport à tel ou tel objectif prioritaire en ce moment dans notre vie.
Il est intéressant de mélanger un peu ces listes, toujours « comme ça vient », en ne cherchant pas trop compliqué. Exemple : après un atelier concernant l’Abondance, une cliente avait un peu minci ; on avait travaillé sur la peur de manquer et sur sa façon de stocker au cas où. Elle a réalisé qu’elle stockait l’argent (en dépensant le moins possible), les objets … et les kilos !
De plus, dans ces listes, on peut se référer au transgénérationnel, à l’inconscient collectif des groupes dont on fait partie… il y a de quoi faire !
Cependant je suggère de ne pas faire des listes trop longues ni de chercher midi à quatorze heures. Pour résoudre un problème actuel, le plus significatif vient assez vite.
Après, bien sûr, il peut être intéressant d’approfondir une piste, pourquoi pas. Les répétitions transgénérationnelles sont impressionnantes, mais pas toujours rapides à trouver…
Après ces prises de conscience, que faire ?
Tous ces symptômes indiquent des blocages dans la direction où on veut aller (au sens le plus large qui soit). Cette direction n’est pas forcément claire non plus.
Normal : si ces blocages étaient faciles à résoudre, notre corps n’aurait pas besoin de nous envoyer tous ces messages de moins en moins drôles.
Première approche : faire appel à notre Sagesse intérieure, à notre Connexion à l’Univers.
Avec l’EFT, ça donne : « Même si j’ai ces symptômes, même s’ils me donnent des informations dont je ne sais que faire, je me souviens que j’ai une Sagesse Intérieure, et je lui demande de m’expliquer les messages de mon corps / des évènements de ma vie. Et de me Guider sur la façon dont je dois agir maintenant ».
Approche suivante si nécessaire : si les messages de votre Sagesse intérieure ne vous paraissent pas clairs non plus, c’est que des blocages émotionnels vous empêchent de les entendre ; un thérapeute peut vous aider à vous en libérer.