A l’heure actuelle, on a l’impression qu’échanger tranquillement des idées et des informations relève de l’exploit. En particulier, médecine conventionnelle et thérapies alternatives semblent opposées, ennemies, aux yeux de beaucoup.
Un petit jeu très dangereux 😰, souvent mortel 💀. Puisque le débat concerne notre santé, au niveau individuel et au niveau collectif.
Deux camps, et des millions de pseudo-certitudes
Particulièrement depuis 2020 et la Grande Folie du Coronacircus, on a l’impression que deux camps se sont constitués, toutes griffes dehors. Heureusement, ce n’est pas symétrique à ce point, pas si simpliste.
Les pro-thérapies alternatives
Ceux qui s’intéressent vraiment aux thérapies alternatives ont presque tous eu affaire à la médecine conventionnelle, pas le contraire. Et beaucoup d’entre eux cherchent à sortir de tout formatage. Ils n’ont donc pas envie de s’en créer un autre.
Mais certains ont été trop blessés par toutes les difficultés rencontrées ces trois dernières années (j’écris cet article en août 2023) : conflits avec des proches, interdiction d’accéder à des soins efficaces, et tant d’autres situations pénibles 😪. Alors, ils sont « passés du côté obscur de la Force » en détestant tout le monde : le système, leurs proches qui adoraient le vak$in, et la médecine conventionnelle, devenue à leurs yeux 100% diabolique.
On peut faire plus soft, et seulement se méfier de cette dernière comme de la peste… ce qui était un peu mon cas. Je priais (et je prie toujours) pour que ni moi ni mes proches ne doivent être hospitalisés tant que la Grande Folie n’est pas totalement terminée (Merci l’Univers 😍, ça ne s’est pas produit). Et je me suis documentée plus que jamais sur les solutions alternatives.
J’ai évité la médecine officielle tant que j’ai pu … sauf un jour où je n’ai pas trouvé de meilleure solution. Et j’ai eu des surprises plutôt positives, j’en parle plus bas, dans le paragraphe : « médecine conventionnelle et thérapies alternatives » : le dialogue progresse un peu.
La médecine conventionnelle (officielle)
Là non plus, tout n’est pas tout blanc ni tout noir. D’un côté, on trouve des héros comme le Pr. Raoult , Pr Fourtillan, Pr Perronne, Louis Fouché, et tant d’autres : l’un de leurs points communs est d’avoir la plupart du temps des points de vue extrêmement nuancés et pacifiques. Un autre est de garder pour objectifs : la vérité et le bien de tous.
A l’autre extrême, on voit évidemment les « médecins de plateau », aux valeurs totalement opposées. Je ne vais pas en parler pendant 3 pages, on connaît, on les a assez entendus.
C’est plus intéressant de réfléchir aux points de vue intermédiaires : ceux des soignants eux-mêmes, et ceux des « patients » (je n’aime pas ce mot) dont la confiance en la médecine conventionnelle est toujours plus ou moins présente, à des degrés divers.
Tout d’abord :
- les médecins et infirmières ont fait de longues années d’études pour se préparer à leur métier : personne n’est heureux à l’idée de remettre en cause un tel travail. Certains s’y résolvent, pas tous. Et pour chacun, c’est dans des mesures différentes.
- personne n’a envie de voir en face qu’on lui a menti pendant des années, voire des siècles. Et surtout, qu’on a adhéré à des mensonges au point d’avoir agi d’une façon qu’on regretterait amèrement … si on voulait bien se l’avouer. Exemple : les parents qui ont fait vaksiner leurs enfants, les soignants qui ont vaksiné à tour de bras.
Pourtant, se culpabiliser et les culpabiliser n’avance à rien : on s’est tous fait avoir des milliers de fois dans notre vie; si ce n’est pas pour la pikkkouze, c’est pour tant d’autre choses. Que celui qui ne s’est jamais fait avoir par la pensée dominante « leur jette la première pierre ».
Il y aurait de quoi écrire un immense article sur ce sujet, en fait.
Un peu d’empathie SVP
Pour abréger, il y a toutes les nuances possibles parmi :
- ceux qui croient (ou ont cru) à fond dans le narratif c… vide et tout ce qui a précédé : l’efficacité et l’inocuité du paracétamol, et de tant d’autres. Et qui ont cru que les innombrables scandales sanitaires étaient des accidents isolés. Pourquoi ? Parce qu’ils sont épuisés par un travail absurde et les stress du quotidien. Parce que leur vie a si peu de sens, qu’ils sont tellement conditionnés au désespoir, tellement coupés de leur Moi Profond. Alors, il ne leur reste que le « plaisir » de se jeter devant BFM TV, et de le commenter avec leurs compagnons de misère (qui ont ou non un « bon salaire », cela n’a rien à voir).
- ceux qui s’en persuadent pour rester cohérents avec leurs choix professionnels et / ou de mode de vie
- ceux qui sont pris au piège du « chantage ordinaire » (au travail, à l’argent, au qu’en-dira-t-on), tellement banal qu’il est inconscient pour presque tous : que peut faire une mère célibataire avec 4 enfants, que son métier d’infirmière oblige à pikouzer sous peine de se retrouver SDF et que ses enfants lui soient retirés (et aussitôt vaksinés) ? Oui, je sais, « elle a qu’à » activer la Loi d’Attraction. Que celui qui la maîtrise assez pour aider les personnes dans sa situation lui jette la première pierre. Mieux : qu’il les aide.
- ceux qui ont compris qu’on se moquait de nous depuis des siècles, et qui se sont réveillés … du pied gauche. Depuis, ils en veulent à tout le monde et veulent tout casser. La haine est aussi un conditionnement.
- ceux qui ont compris qu’on se moquait de nous depuis des siècles, et qui veulent participer à l’Eveil de l’humanité. Magnifique, et j’en fais partie.
Cependant, pour participer à cet Eveil, il vaut mieux être conscient que toutes les personnes dont je viens de parler reflètent des parties de nous. Donc, ne pas juger ces personnes serait une excellente idée…
Je ne prétends pas du tout y arriver tous les jours ☹, mais je m’efforce d’avancer dans cette direction.
Quand chaque partie de nous croit détenir la vérité … mais que ces « vérités » sont toutes contradictoires.
Pourtant, ces parties de nous sont persuadées de détenir la vérité absolue. Elles considèrent celles qui les remettent en cause comme l’ennemi, qu’il faut agresser ou éviter autant que possible.
Il s’agit de parties de nous : vous voyez la bagarre que ça crée à l’intérieur ?! (la sérénité, c’est un état où les parties de nous sont à peu près d’accord).
Et cette bagarre à l’intérieur se reflète à l’extérieur.
D’où l’importance de prendre de la distance avec nos pseudo-certitudes
POURQUOI EST-CE SI DIFFICILE de nous dire tout simplement : « Sur tel sujet, je ne sais pas » ?
Quelques réponses, qui peuvent vous évoquer des souvenirs :
– A l’école, si on ne savait pas répondre aux questions que nous posait la maîtresse, on avait une mauvaise note et on se faisait gronder. Des années de ces « mauvais traitements », ça laisse des traces.
– Plus tard, on nous explique que si on n’a pas d’opinion sur quelque chose, c’est qu’on est stupide, et si on ne prend pas parti, c’est qu’on est un « lâche ». (j’ai maintenant une réponse à cela : « mon parti, c’est celui de la Paix, et du Respect de tous. « )
– Ceux qui savent (enfin, qui CROIENT savoir) sont impressionnants. Et on ose rarement les contredire, même intérieurement. D’où le « prestige de la blouse blanche ».
D’autant plus que plus on a peur, plus on régresse : alors, on va chercher « Papa », celui qui sait tout, « la preuve c’est qu’il le dit lui-même » (pas forcément, en plus).
Un bon garde-fou : SE DEMANDER TOUJOURS AVEC PRECISION SUR QUOI ON SE BASE POUR AFFIRMER QUELQUE CHOSE. Pour cela, les raisonnements de géométrie sont très utiles, parce qu’ils nécessitent de toujours se poser ce genre de questions : il faudrait que ça devienne un automatisme.
Et un autre garde-fou : ce protocole EFT :
– pour mettre un peu d’ordre dans notre tête, et distinguer ce qu’on sait vraiment de ce qui n’est que la croyance collective du moment 🤔🤨
– prendre aussi de la distance par rapport aux certitudes de nos interlocuteurs … qui ne connaissent pas toujours très bien le sujet non plus. 😉 😂 – et pour nous rappeler « d’être le changement (et la PAIX) qu’on veut voir dans le monde ». (Je ne prends pas Gandhi, l’auteur de cette phrase, pour mon Papa 😉 ; mais ce que je connais de lui est très inspirant à mes yeux ).
Médecine conventionnelle et thérapies alternatives : le dialogue progresse un peu
Au départ, j’avais écrit les deux petits paragraphes ci-dessous dans cet article, où il était question de ce que m’a appris … un gros mal de dents ! Ils sont devenus le point de départ de celui-ci. Je ne pensais pas qu’il serait si long !
J’ai consulté une dentiste formée à l’approche conventionnelle.
Malgré cela, elle a écouté mes recherches de solution, a confirmé les bienfaits de l’argile, dont des patientes lui avaient déjà parlé. Tant d’autres auraient dit que tout ça était nul, et m’auraient prescrit des antibiotiques !
Elle a commenté la radio de mes dents, comprenant l’idée de dentisterie holistique. (eh oui, comme n’importe quelle partie du corps, chaque dent a une symbolique précise).
Elle m’a également rassurée en précisant : « ça ne peut pas être ceci, ni cela » (heureusement !). Puis elle m’a donné quelques hypothèses à vérifier, dont celle de la névralgie faciale : je n’y aurais pas pensé toute seule, même en « épluchant internet ».
Même si elle n’a trouvé avec certitude ni cause ni remède, elle a eu l’honnêteté de le dire, et m’a apporté des informations utiles. Gratitude à son ouverture d’esprit et sa capacité de chercher.
Suite de l’enquête : mon médecin.
Il fallait que j’en sache plus sur cette histoire de névralgie faciale, et vite, parce que ça fait sacrément mal !
Je retourne chez mon médecin « habituel », que je vois au plus tous les deux ans. En 2020, masquée jusqu’aux yeux, elle était à fond dans le narratif du moment.
J’y vais donc à reculons, faute de meilleure solution.
Après tout, qu’est-ce que j’avais à perdre ? Mieux valait jouer la carte de la sincérité.
Je lui raconte donc mes trouvailles récentes : l’argile, les sons binauraux, et ce que j’avais appris la veille sur la symbolique de la névralgie faciale, pour savoir s’il s’agit bien de cela.
Miracle : elle m’écoute ! elle semble assez intéressée, et reconnaît qu’il y a beaucoup à apprendre du côté des médecines alternatives et de l’influence du psychisme sur le physique.
Et qu’elle en a archi-super-marre des corvées que lui impose l’administration : fichiers, logiciels. « J’ai fait médecine pour aider des gens, pas pour passer mon temps sur de l’informatique ! J’ai à peine le temps d’être avec les patients, à cause des exigences administratives »
Je lui demande :
– beaucoup de gens vous racontent des choses comme je viens de vous dire ?
– Non. Peut-être qu’ils n’osent pas : à leurs yeux, je représente la médecine officielle. La liberté d’expression, on n’en a pas beaucoup !
Quelques pas vers une collaboration respectueuse entre médecine conventionnelle et thérapies alternatives… et la première personne concernée !
C’est au moins des pas vers la médecine de demain; celle où il y a une réelle collaboration entre la personne qui veut comprendre le sens de ses symptômes et son médecin. Ce dernier lui donne autant qu’il le peut les informations dont elle a besoin. Je développe davantage cette idée à la fin de « EFT et médecine« .
Tout cela devrait pourtant être normal : mais ce n’est pas encore habituel. Pourtant : on va y arriver !